Les paroles de la chanson
« Oxygène »
Luck Mervil
Comme tous les matins
Le soleil se lève
Entre les buildings
Vers sept heures et demie
J’ouvre ma fenêtre
Toujours le même homme qui fait son jogging!
Je m’habille je me maquille
J’avale un grand café noir
Mes lunettes ma mallette
Accessoires obligatoires
Les miroirs du couloir
Multiplient ma silhouette
L’ascenseur me fait peur
A chaque étage, mon cœur s’arrête
Donnez-moi
Donnez-moi de l’oxygène
Donnez-moi de l’oxygène
Donnez-moi
Donnez-moi de l’oxygène
Donnez-moi de l’oxygène
Dans une cour d’école
Un enfant qui joue
Avec un ballon vert
Porte tout à coup
La main a son cou
En tombant par terre, étouffé par l’air
A midi et demi
Encore un grand café noir
Je ne mange qu’une orange
Pour tenir le coup jusqu’au soir
Je m’étends un instant
Les jambes à la verticale
Je respire et j’expire
Dans un mouvement machinal
Donnez-moi
Donnez-moi de l’oxygène
Donnez-moi de l’oxygène
Donnez-moi
Donnez-moi de l’oxygène
Donnez-moi de l’oxygène
Dans une ambulance
Traversant la ville
A deux cents a l’heure
On mène à l’urgence
Un homme immobile
Avec une pile à la place du cœur
Toute la s’maine j’me démène
De neuf heures jusqu’à cinq heures
Le trafic me panique
Quand je roule à la noirceur
Le parking du building
A toujours la même odeur
En rentrant dans l’appartement
J’allume mon climatiseur
Donnez-moi
Donnez-moi de l’oxygène
Donnez-moi de l’oxygène
Donnez-moi
Donnez-moi de l’oxygène
Donnez-moi de l’oxygène
Le soleil se lève
Entre les buildings
Vers sept heures et demie
J’ouvre ma fenêtre
Toujours le même homme qui fait son jogging!
Je m’habille je me maquille
J’avale un grand café noir
Mes lunettes ma mallette
Accessoires obligatoires
Les miroirs du couloir
Multiplient ma silhouette
L’ascenseur me fait peur
A chaque étage, mon cœur s’arrête
Donnez-moi
Donnez-moi de l’oxygène
Donnez-moi de l’oxygène
Donnez-moi
Donnez-moi de l’oxygène
Donnez-moi de l’oxygène
Dans une cour d’école
Un enfant qui joue
Avec un ballon vert
Porte tout à coup
La main a son cou
En tombant par terre, étouffé par l’air
A midi et demi
Encore un grand café noir
Je ne mange qu’une orange
Pour tenir le coup jusqu’au soir
Je m’étends un instant
Les jambes à la verticale
Je respire et j’expire
Dans un mouvement machinal
Donnez-moi
Donnez-moi de l’oxygène
Donnez-moi de l’oxygène
Donnez-moi
Donnez-moi de l’oxygène
Donnez-moi de l’oxygène
Dans une ambulance
Traversant la ville
A deux cents a l’heure
On mène à l’urgence
Un homme immobile
Avec une pile à la place du cœur
Toute la s’maine j’me démène
De neuf heures jusqu’à cinq heures
Le trafic me panique
Quand je roule à la noirceur
Le parking du building
A toujours la même odeur
En rentrant dans l’appartement
J’allume mon climatiseur
Donnez-moi
Donnez-moi de l’oxygène
Donnez-moi de l’oxygène
Donnez-moi
Donnez-moi de l’oxygène
Donnez-moi de l’oxygène