Les paroles de la chanson
« Où sont les pépées ? »
Philippe Clay
Du cargo-citerne où j’ débarque à peine
Et si je zigzague, c’est qu’on vient d’ Sidney
Par les Philippines et par Copenhague
Depuis six semaines qu’on fait le parcours
Ça en fait des nuits à rêver d’amour!
Où sont les pépées
Que j’aille guincher
Dans les tabarins?
Y a qu’ les jours d’escale
Qu’on s’ rince la dalle
Et rigole un brin
J’ai un cœur en or
Et mieux encore
Pour payer comptant
J’ai quelques dollars
Qui se bagarrent
Au fond d’ mon grimpant
Comme une frégate
Qui va d’ bâbord à tribord
Je suis un pirate
Qui fait l’abordage des bistrots du port
Mais, crénom de nom!
Quand on gambille
Et qu’on est fin saoul
C’est coton coton
De plaire aux filles
Et d’ rester debout
Quand le gramophone
Nous joue sa rengaine
On est dans la vape
Je n’ sais pas pourquoi
Je pleure quelquefois
Et mon cœur dérape
Qu’une fille s’approche
Dans ces moments-là
Et c’est dans la poche
Elle chiale avec moi
Où sont les pépées
Que j’aille guincher
Dans les tabarins?
Y a qu’ les jours d’escale
Qu’on s’ rince la dalle
Et rigole un brin
Mais doucement les basses
Gare à la casse
Si quelque méchant
Veut faire le mariole
J’ai pour sa fiole
Du répondant
Me cherchez pas noise
Sinon messieurs les douillets
Un pif, ça pavoise
Mieux que la Bastille au quatorze juillet
Mais, crénom de nom!
Quand on gambille
Et qu’on est fin saoul
C’est coton coton
De plaire aux filles
Et d’ rester debout
Et allez! Et en avant la musique, madame!
Et ça guinche là, là-dedans!
Et allez, mémère!
Déjà la sirène
Au revoir, les pépées jolies
À vos cœurs en peine,
Je laisse mon prénom sur tous les bois d’ lit
Ayez pas l’ bourdon, on s’ reverra au prochain parcours
Planquez vos mouchoirs et au revoir, les pépées d’amour
Les pépées d’amour, les pépées d’amour
C’est nous, les gars de la Marine, ha ha ha
Et si je zigzague, c’est qu’on vient d’ Sidney
Par les Philippines et par Copenhague
Depuis six semaines qu’on fait le parcours
Ça en fait des nuits à rêver d’amour!
Où sont les pépées
Que j’aille guincher
Dans les tabarins?
Y a qu’ les jours d’escale
Qu’on s’ rince la dalle
Et rigole un brin
J’ai un cœur en or
Et mieux encore
Pour payer comptant
J’ai quelques dollars
Qui se bagarrent
Au fond d’ mon grimpant
Comme une frégate
Qui va d’ bâbord à tribord
Je suis un pirate
Qui fait l’abordage des bistrots du port
Mais, crénom de nom!
Quand on gambille
Et qu’on est fin saoul
C’est coton coton
De plaire aux filles
Et d’ rester debout
Quand le gramophone
Nous joue sa rengaine
On est dans la vape
Je n’ sais pas pourquoi
Je pleure quelquefois
Et mon cœur dérape
Qu’une fille s’approche
Dans ces moments-là
Et c’est dans la poche
Elle chiale avec moi
Où sont les pépées
Que j’aille guincher
Dans les tabarins?
Y a qu’ les jours d’escale
Qu’on s’ rince la dalle
Et rigole un brin
Mais doucement les basses
Gare à la casse
Si quelque méchant
Veut faire le mariole
J’ai pour sa fiole
Du répondant
Me cherchez pas noise
Sinon messieurs les douillets
Un pif, ça pavoise
Mieux que la Bastille au quatorze juillet
Mais, crénom de nom!
Quand on gambille
Et qu’on est fin saoul
C’est coton coton
De plaire aux filles
Et d’ rester debout
Et allez! Et en avant la musique, madame!
Et ça guinche là, là-dedans!
Et allez, mémère!
Déjà la sirène
Au revoir, les pépées jolies
À vos cœurs en peine,
Je laisse mon prénom sur tous les bois d’ lit
Ayez pas l’ bourdon, on s’ reverra au prochain parcours
Planquez vos mouchoirs et au revoir, les pépées d’amour
Les pépées d’amour, les pépées d’amour
C’est nous, les gars de la Marine, ha ha ha