Les paroles de la chanson
« Où que je vive »
Francesca Solleville
Où que je vive, je te vois
Toi, ton toit de tuiles et ta voix
Je vois des flocons, des Afriques
Le surplace de la République
Le cadran de la gare du Nord
Des mâts de bateaux, plein le port
Beaux comme des jeux de Mikado
Et un poisson rouge dans ton dos
Je vois l’oreiller de tes bras
Où que je vive, je te vois
Il était un jour plein de foi
Où que je vive, je te vois
Où que je vive, je te vois
La maison bleue qui nous tutoie
Et Venise et la tour de Pise
Le sourire de la banlieue grise
J’ vous vois Vancouver et Dakar
La musique des autocars
Sur la route de Casamance
Et des ponts d’Avignon qui dansent
Je vois l’Ardèche et Courbevoie
Où que je vive, je te vois
Il était un jour, une fois
Où que je vive, je te vois
Où que je vive, je te vois
Des pas, des rails, des convois
Des saisons, le Nil et la Seine
Le sang transparent des baleines
Je vois des caresses qui chôment
Dans le ciel fatigué des paumes
Un canal, un champ de tulipes
Et les pommes bleues de Magritte
Je vous vois, le bout de tes doigts
Où que j’habite, je te vois
Il était un jour, tant de fois
Où que je vive, je te vois
Toi, ton toit de tuiles et ta voix
Je vois des flocons, des Afriques
Le surplace de la République
Le cadran de la gare du Nord
Des mâts de bateaux, plein le port
Beaux comme des jeux de Mikado
Et un poisson rouge dans ton dos
Je vois l’oreiller de tes bras
Où que je vive, je te vois
Il était un jour plein de foi
Où que je vive, je te vois
Où que je vive, je te vois
La maison bleue qui nous tutoie
Et Venise et la tour de Pise
Le sourire de la banlieue grise
J’ vous vois Vancouver et Dakar
La musique des autocars
Sur la route de Casamance
Et des ponts d’Avignon qui dansent
Je vois l’Ardèche et Courbevoie
Où que je vive, je te vois
Il était un jour, une fois
Où que je vive, je te vois
Où que je vive, je te vois
Des pas, des rails, des convois
Des saisons, le Nil et la Seine
Le sang transparent des baleines
Je vois des caresses qui chôment
Dans le ciel fatigué des paumes
Un canal, un champ de tulipes
Et les pommes bleues de Magritte
Je vous vois, le bout de tes doigts
Où que j’habite, je te vois
Il était un jour, tant de fois
Où que je vive, je te vois