Les paroles de la chanson
« On vous aime tant »
Kenza Farah
"rien n’est eternel, et a un moment ou a un autre, nous devons tous dire adieu au mon de que nous connaissions; a tout ce que nous tenions pour acquis. que pouvons- nous faire?"
yeah, ne pleure pas mon frere, tes proches ont besoin de tes prieres
souris a leur place, ils on besoin de lumiere, de cher, parti sans laisser d’adresse, envoie des lettres au paradis meme sans code postal,
encaisse qu’on est propriétaire que du cimetiere,
qu’embrasser des photos soulage mere, soeur, et toutes ces femmes fragiles qui s’arrachent les cheveux
quand Gabriel fait son inventaire
j’voudrais dédier ces quelques mots
a ces étoiles qui n’ont pu briller que quelques fois sur nos ciels,
cette jeunesse qui en quelques secondes, deviennent de vieux souvenirs qui nous ensoleiile dans le froid
moi j’y crois
un jour ou l’autre on s’reverra
cher djb, il m’arrive de revoir ton sourire dans mes reves, mais il faut que j’me reveille car demain n’est jamais sûr
rires, grand, larmes, et que dieu protege les hommes
refrain; dans les joies, peines, pensées, souvenirs,
on vous aime tant, on ne vous oubliera jamais
vos photos sur les murs, éclairent mes nuits
vos habits, vos odeurs m’enivrent, sur ma vie
on vous aime tant
on ne vous oubliera jamais
envie de parler des absents, dire qu’un jour j’en serai un,
qui s’rapellera d’mon rap et d’mon accent?
le tamps file, des rides apparaissent, la mort comme une caresse
j’ai pas fini continuez a ma place ou je conytinuerai
yeah, ne pleure pas mon frere, tes proches ont besoin de tes prieres
souris a leur place, ils on besoin de lumiere, de cher, parti sans laisser d’adresse, envoie des lettres au paradis meme sans code postal,
encaisse qu’on est propriétaire que du cimetiere,
qu’embrasser des photos soulage mere, soeur, et toutes ces femmes fragiles qui s’arrachent les cheveux
quand Gabriel fait son inventaire
j’voudrais dédier ces quelques mots
a ces étoiles qui n’ont pu briller que quelques fois sur nos ciels,
cette jeunesse qui en quelques secondes, deviennent de vieux souvenirs qui nous ensoleiile dans le froid
moi j’y crois
un jour ou l’autre on s’reverra
cher djb, il m’arrive de revoir ton sourire dans mes reves, mais il faut que j’me reveille car demain n’est jamais sûr
rires, grand, larmes, et que dieu protege les hommes
refrain; dans les joies, peines, pensées, souvenirs,
on vous aime tant, on ne vous oubliera jamais
vos photos sur les murs, éclairent mes nuits
vos habits, vos odeurs m’enivrent, sur ma vie
on vous aime tant
on ne vous oubliera jamais
envie de parler des absents, dire qu’un jour j’en serai un,
qui s’rapellera d’mon rap et d’mon accent?
le tamps file, des rides apparaissent, la mort comme une caresse
j’ai pas fini continuez a ma place ou je conytinuerai