Les paroles de la chanson
« On est des oufs »
Les Fatals Picards
Fuck! Fuck! Fuck! Fuck!
Fuck, fuck, fuck, fuck
... Faut qu’on te dise un truc!
On mange des produits laitiers périmés d’puis la veille,
On fait pas nos lits quand on va à l’hôtel,
On ouvre les yeux sous l’eau à la piscine, oui,
On paye nos impôts le dernier jour à minuit
On met pas de gants pour faire la vaisselle,
Ni pour faire du ski, ni avec les filles,
On appelle des gens qui n’ont pas l’téléphone,
Et après on n’ouvre même pas quand ça sonne!
On est des oufs! On est des oufs!
On est des oufs, on n’a peur de rien,
On est des oufs! On est des oufs!
On est des oufs, on n’a peur de rien!
On resquille dans le métro les jours de grève,
Et quand on voit un catcheur balèze
On l’insulte, ou bien on change de chaîne,
Et quand il fait froid on met des pulls en laine,
On mange des fruits d’mer en montagne,
Et de la fondue l’hiver en Bretagne,
La nuit on se cache pour fumer du shit à Amsterdam,
On fait des mélanges de ouf, on prend deux fois de l’édam!
On est des oufs! On est des oufs!
On est des oufs, on n’a peur de rien,
On est des oufs! On est des oufs!
On est des oufs, on n’a peur de rien!
Ooooh... Jump! Jump! Jump! Jump!
Je m’permets de te faire prendre connaissance qu’
On mange des trucs que les animaux mangeraient pas,
Genre des Frosties, des boîtes de thon, d’l’huile de colza,
Des fois on s’fait griller, mais on continue quand même,
Des fois on pleure nos races, mais on continue quand même.
Comme on n’a pas peur des flics nous, on a toujours nos papiers,
On dit plein de mal des méchants à la télé,
Même ceux qui font d’l’audimat, la météo, Bison Futé,
Aux élections même quand il fait beau, on va voter!
On est des oufs! On est des oufs!
[Toujours centriste!]
On est des oufs, on n’a peur de rien,
On est des oufs! On est des oufs!
[Même aux cantonales!]
On est des oufs, on n’a peur de rien!
Jump! Jump! Jump! Jump! Jump!
Je m’priverai pas de te dire que
Des fois on traîne tellement dans les rues
Qu’on a dix minutes de retard à la messe.
Le médecin il nous dit que si on continue,
Il nous reste que quatre vingt cinq ans à vivre : le stress!
Nous on met des boules quiès dans le silence,
Et après on les lave pour les remettre.
On est poli avec les gendarmes et quand ils nous voient plus,
On leur déclenche des billets, des travers qui peuvent se mettre bien(?)
On est des barges! On est des barges!
On est des barges, on va même sous l’eau,
[Tu comprends pas!?]
On est des oufs! On est des oufs!
On est des oufs, on n’a pas peur des chiens!
[Moi j’peux t’dire que nous]
On met du sucre dans le coca
Et on met du sel dans la mer,
On met du sopalin autour du papier alu
Pour pas l’abîmer, il est à grand-mère!
On prend nos voitures décapotables
Et quand, et quand, et quand il pleut
On met des housses, on met des housses, on n’a peur de rien!
On met des housses, on n’a peur de rien!!
Mais parfois on écoute de la musique classique avec les petits lapins.
Fuck, fuck, fuck, fuck
... Faut qu’on te dise un truc!
On mange des produits laitiers périmés d’puis la veille,
On fait pas nos lits quand on va à l’hôtel,
On ouvre les yeux sous l’eau à la piscine, oui,
On paye nos impôts le dernier jour à minuit
On met pas de gants pour faire la vaisselle,
Ni pour faire du ski, ni avec les filles,
On appelle des gens qui n’ont pas l’téléphone,
Et après on n’ouvre même pas quand ça sonne!
On est des oufs! On est des oufs!
On est des oufs, on n’a peur de rien,
On est des oufs! On est des oufs!
On est des oufs, on n’a peur de rien!
On resquille dans le métro les jours de grève,
Et quand on voit un catcheur balèze
On l’insulte, ou bien on change de chaîne,
Et quand il fait froid on met des pulls en laine,
On mange des fruits d’mer en montagne,
Et de la fondue l’hiver en Bretagne,
La nuit on se cache pour fumer du shit à Amsterdam,
On fait des mélanges de ouf, on prend deux fois de l’édam!
On est des oufs! On est des oufs!
On est des oufs, on n’a peur de rien,
On est des oufs! On est des oufs!
On est des oufs, on n’a peur de rien!
Ooooh... Jump! Jump! Jump! Jump!
Je m’permets de te faire prendre connaissance qu’
On mange des trucs que les animaux mangeraient pas,
Genre des Frosties, des boîtes de thon, d’l’huile de colza,
Des fois on s’fait griller, mais on continue quand même,
Des fois on pleure nos races, mais on continue quand même.
Comme on n’a pas peur des flics nous, on a toujours nos papiers,
On dit plein de mal des méchants à la télé,
Même ceux qui font d’l’audimat, la météo, Bison Futé,
Aux élections même quand il fait beau, on va voter!
On est des oufs! On est des oufs!
[Toujours centriste!]
On est des oufs, on n’a peur de rien,
On est des oufs! On est des oufs!
[Même aux cantonales!]
On est des oufs, on n’a peur de rien!
Jump! Jump! Jump! Jump! Jump!
Je m’priverai pas de te dire que
Des fois on traîne tellement dans les rues
Qu’on a dix minutes de retard à la messe.
Le médecin il nous dit que si on continue,
Il nous reste que quatre vingt cinq ans à vivre : le stress!
Nous on met des boules quiès dans le silence,
Et après on les lave pour les remettre.
On est poli avec les gendarmes et quand ils nous voient plus,
On leur déclenche des billets, des travers qui peuvent se mettre bien(?)
On est des barges! On est des barges!
On est des barges, on va même sous l’eau,
[Tu comprends pas!?]
On est des oufs! On est des oufs!
On est des oufs, on n’a pas peur des chiens!
[Moi j’peux t’dire que nous]
On met du sucre dans le coca
Et on met du sel dans la mer,
On met du sopalin autour du papier alu
Pour pas l’abîmer, il est à grand-mère!
On prend nos voitures décapotables
Et quand, et quand, et quand il pleut
On met des housses, on met des housses, on n’a peur de rien!
On met des housses, on n’a peur de rien!!
Mais parfois on écoute de la musique classique avec les petits lapins.