Les paroles de la chanson
« On changera pas le monde »
Zoë Avril
On ne changera pas le monde, Maman
Et on ne changera pas les gens
On ne changera pas le monde, Maman
Ça ne passera pas avec le temps
Le Paris-Nantes me passionne
Autant que mon voisin de voyage
Qui parle très fort au téléphone
Et qui étale tous ses bagages
Il a toujours un modèle has been
Et il prend de haut le contrôleur
Et, avec ses blagues, il bassine
La moitié du wagon fumeur
{Refrain:}
On ne changera pas le monde, Maman
On ne changera pas les gens
On ne changera pas le monde, Maman
Faut vivre avec, tout simplement
On ne changera pas le monde, Maman
On ne changera pas les gens
On ne changera pas le monde, Maman
Ça ne passera pas avec le temps
En fin de semaine, j’ai peur des vieux
Et de leurs horribles petites manies
De se trimballer deux par deux
Comme par hasard dans mon Franprix,
Si par malheur j’arrive en caisse
Avec un chariot trop plein
Ils prônent un pseudo droit d’aînesse
Et me passent devant avec dédain
{au Refrain}
Et au volant de ma petite 106
Moi, je ne demande rien à personne
Si ce n’est de ne pas me pousser au vice
En me collant au cul à coups de klaxon
Si par malheur, à un feu rouge
On me fait des appels de phare,
Je hurle, je crie, je deviens toute rouge
Et puis j’invente des mots barbares
{au Refrain, x2}
Et, à ma liste de doléances,
J’ajoute que je deviens farouche
Lorsqu’on commet l’imprudence
De parler à deux doigts de ma bouche,
Qui t’autorise, petit vandale,
A t’approcher si près de moi,
A violer mon espace vital,
A faire comme si t’étais chez toi?
{au Refrain, x2}
Et on ne changera pas les gens
On ne changera pas le monde, Maman
Ça ne passera pas avec le temps
Le Paris-Nantes me passionne
Autant que mon voisin de voyage
Qui parle très fort au téléphone
Et qui étale tous ses bagages
Il a toujours un modèle has been
Et il prend de haut le contrôleur
Et, avec ses blagues, il bassine
La moitié du wagon fumeur
{Refrain:}
On ne changera pas le monde, Maman
On ne changera pas les gens
On ne changera pas le monde, Maman
Faut vivre avec, tout simplement
On ne changera pas le monde, Maman
On ne changera pas les gens
On ne changera pas le monde, Maman
Ça ne passera pas avec le temps
En fin de semaine, j’ai peur des vieux
Et de leurs horribles petites manies
De se trimballer deux par deux
Comme par hasard dans mon Franprix,
Si par malheur j’arrive en caisse
Avec un chariot trop plein
Ils prônent un pseudo droit d’aînesse
Et me passent devant avec dédain
{au Refrain}
Et au volant de ma petite 106
Moi, je ne demande rien à personne
Si ce n’est de ne pas me pousser au vice
En me collant au cul à coups de klaxon
Si par malheur, à un feu rouge
On me fait des appels de phare,
Je hurle, je crie, je deviens toute rouge
Et puis j’invente des mots barbares
{au Refrain, x2}
Et, à ma liste de doléances,
J’ajoute que je deviens farouche
Lorsqu’on commet l’imprudence
De parler à deux doigts de ma bouche,
Qui t’autorise, petit vandale,
A t’approcher si près de moi,
A violer mon espace vital,
A faire comme si t’étais chez toi?
{au Refrain, x2}