Les paroles de la chanson
« Ohé paris ! »
Charles Trenet
Ohé Paris,
Merveille de chez nous.
Ohé, les amis,
Comment allez-vous?
Très bien, parfait, moi pas mal comme vous.
Alors la vie est belle.
Voici du soleil,
Voici des frissons,
Voici des réveils,
Voici des chansons
Pour les filles et pour les garçons
Qui les chantent à l’unisson,
Pour les jeunes, pour les vieux,
Pour les tristes, les joyeux,
Enfin pour ceux qui chantent,
Pour le jour et la nuit,
Un air qui vous poursuit
Et qui vous enchante,
Pour la joie de revoir des sourires de printemps,
Et des fleurs dans les bois, et des cœurs palpitants,
Pour l’amour, le bonheur, le plaisir d’être ici
Et de dire "Ohé Paris"
Ohé l’Étoile,
Ohé les Tuil’ries,
Ohé Place Pigalle,
Ohé Place Clichy,
Souv’nirs anciens des charmants visages,
Des rues, des paysages,
Ohé midinettes aux grands yeux pleins d’amour,
Ohé frimoussettes, vous êtes là comme toujours.
Mon cœur non plus n’a pas changé.
C’est vers vous qu’il s’envole léger
Et je pense, et j’me dis
Que dans l’monde, aujourd’hui,
La France est adorée
Car, depuis deux mille ans,
Il y a eu bien des gens
Pour faire sa renommée :
De Villon à Ronsard, de Molière à Verlaine
Et tant pis pour César qui nous voulait d’la peine,
Et tant mieux pour Pasteur, pour Ravel, Debussy,
Pour ton cœur, éternel Paris,
Pour ton cœur, éternel Paris.
Merveille de chez nous.
Ohé, les amis,
Comment allez-vous?
Très bien, parfait, moi pas mal comme vous.
Alors la vie est belle.
Voici du soleil,
Voici des frissons,
Voici des réveils,
Voici des chansons
Pour les filles et pour les garçons
Qui les chantent à l’unisson,
Pour les jeunes, pour les vieux,
Pour les tristes, les joyeux,
Enfin pour ceux qui chantent,
Pour le jour et la nuit,
Un air qui vous poursuit
Et qui vous enchante,
Pour la joie de revoir des sourires de printemps,
Et des fleurs dans les bois, et des cœurs palpitants,
Pour l’amour, le bonheur, le plaisir d’être ici
Et de dire "Ohé Paris"
Ohé l’Étoile,
Ohé les Tuil’ries,
Ohé Place Pigalle,
Ohé Place Clichy,
Souv’nirs anciens des charmants visages,
Des rues, des paysages,
Ohé midinettes aux grands yeux pleins d’amour,
Ohé frimoussettes, vous êtes là comme toujours.
Mon cœur non plus n’a pas changé.
C’est vers vous qu’il s’envole léger
Et je pense, et j’me dis
Que dans l’monde, aujourd’hui,
La France est adorée
Car, depuis deux mille ans,
Il y a eu bien des gens
Pour faire sa renommée :
De Villon à Ronsard, de Molière à Verlaine
Et tant pis pour César qui nous voulait d’la peine,
Et tant mieux pour Pasteur, pour Ravel, Debussy,
Pour ton cœur, éternel Paris,
Pour ton cœur, éternel Paris.