Les paroles de la chanson
« Obsolete »
Mc Solaar
Naguère les concierges étaient en vogue
Désormais on les a remplacées par des digicodes
Dans ma ville il n’y avait pas de parcmètres
Je voyais des ouvriers manger des sandwiches à l’omelette
Le passé me revient comme un bilboquet
La présence d’ un passé,omniprésent n’est pas passé
Les Halles supplantées par le Costes
L’ allégorie des Madeleines file,à la vitesse de Prost
L’air y était pur,Paris plus beau
Désormais le ticket de métro augmente comme le nombre d’autos
Oh shit! A la télé y a plus de speakerine
Y a des films de série B que j’estime à quinze centimes
Les States nous plaquent ces films de trois piécettes
Que je mate,que mon intellect constate qu’ils sont OBSOLETES.
Obsolete mais stylée la phrase qui suivra
"L’homme qui capte le mic et le nom possède le double A"
La variet’ est sa cible SOLAAR l’arbalète
Qui pique cette zique solite et alite l’élite
Qui élabore depuis des décennies
Une main basse sur mon art pour qu’il avance au ralenti
Mais le Grand Manitou,manie tout,t’inquiète!
Il démasque la musique et la place en hypothèque
Puis incrit en italique sur son agenda
Le top des trucs qu’il n’aime pas
Bref pour être clair et net le ventricules’accompagne de l’oreillette
Rout comme à mes oreilles la "variet" s’acoquine et rime avec Obsolete
Obsolete est aussi l’allumeuse qui
Portait des bas résilles et empestait le patchouli
Pour des services rendus elle me dit "j’te paye en nature"
Et je reste stoïque quand elle me tend des confitures
Ceci est oublié quand au mois de décembre
Elle me téléphone et me dit"Passe me prendre"
Bref!J’en abuse avec délectation
Douce comme de l’hydromel je suis en affection
Puis me glisse,m’immisce,entre les cuisses lisses de la Miss
Ses yeux se plissent et elle dit"Stop ton vice"
Je suis comme une balle,elle joue le rôle d’une raquette
L’endormeuse allumeuse se prend pour une starlette
Mais sache que dand les cinémathèques,tes presques galipettes désuètes
Sont classées dans les séries B au rayon Obsolete.
Désormais on les a remplacées par des digicodes
Dans ma ville il n’y avait pas de parcmètres
Je voyais des ouvriers manger des sandwiches à l’omelette
Le passé me revient comme un bilboquet
La présence d’ un passé,omniprésent n’est pas passé
Les Halles supplantées par le Costes
L’ allégorie des Madeleines file,à la vitesse de Prost
L’air y était pur,Paris plus beau
Désormais le ticket de métro augmente comme le nombre d’autos
Oh shit! A la télé y a plus de speakerine
Y a des films de série B que j’estime à quinze centimes
Les States nous plaquent ces films de trois piécettes
Que je mate,que mon intellect constate qu’ils sont OBSOLETES.
Obsolete mais stylée la phrase qui suivra
"L’homme qui capte le mic et le nom possède le double A"
La variet’ est sa cible SOLAAR l’arbalète
Qui pique cette zique solite et alite l’élite
Qui élabore depuis des décennies
Une main basse sur mon art pour qu’il avance au ralenti
Mais le Grand Manitou,manie tout,t’inquiète!
Il démasque la musique et la place en hypothèque
Puis incrit en italique sur son agenda
Le top des trucs qu’il n’aime pas
Bref pour être clair et net le ventricules’accompagne de l’oreillette
Rout comme à mes oreilles la "variet" s’acoquine et rime avec Obsolete
Obsolete est aussi l’allumeuse qui
Portait des bas résilles et empestait le patchouli
Pour des services rendus elle me dit "j’te paye en nature"
Et je reste stoïque quand elle me tend des confitures
Ceci est oublié quand au mois de décembre
Elle me téléphone et me dit"Passe me prendre"
Bref!J’en abuse avec délectation
Douce comme de l’hydromel je suis en affection
Puis me glisse,m’immisce,entre les cuisses lisses de la Miss
Ses yeux se plissent et elle dit"Stop ton vice"
Je suis comme une balle,elle joue le rôle d’une raquette
L’endormeuse allumeuse se prend pour une starlette
Mais sache que dand les cinémathèques,tes presques galipettes désuètes
Sont classées dans les séries B au rayon Obsolete.