Les paroles de la chanson
« Ô vous »
Richard Gotainer
Quand vos mains me tutoient, quand du doigt je dis "tu"
Et que saute l’agrafe qui te tient le tutu,
Acceptez, je vous prie, chère amie, voulez-vous,
Dites oui, sans chichi, laissez-moi te dire "vous".
Laissez-moi t’éplucher, vous courrir dans les voiles.
C’est toi seule que je veux, c’est vous ma femme à poil.
Il me tarde, ma mie, s’il te plaît mademoiselle,
A vos pieds, je supplie, devenez ma femelle.
Vous, vous, vous, vous, ô vous, oui toi oui, yes ô you.
Votre bouche votre nez, tes épaules, vos genoux.
Tout de vous, tout, oui, tout : je veux tout vous ravir.
Je veux tout vous voler pour vous appartenir.
Quand vos mains me tutoient, quand du doigt je dis "tu",
Quand vous gardez vos bas pour être encore plus nue,
A l’instant où j’oublie mes noms et mes adresses,
L’animal est lâché à vos trousses, princesse.
Je te flaire, je t’effleure, je vous frôle, je vous hume.
Je m’en vais lentement vous voler dans les plumes.
Laissez-moi t’allumer dans un coin du boudoir.
Laissez-moi, chère amie, te dire "vous" dans le noir.
Vous, vous, vous, vous, ô vous, oui toi oui, yes ô you.
Vos mains vos reins, vos seins, tes cuisses, ton cul, ton cou.
Tout de vous, tout, oui, tout : je veux tout vous ravir.
Je veux tout vous voler pour vous appartenir.
Ma danseuse, ma sirène, ma Vénus, ma nénette,
Laissez-moi de ce pas vous marier sous la couette.
Venez chérie, venez, dis-moi oui, voulez-vous.
Mon amour, ma Julie, laissez-moi te dire Vous.
Et que saute l’agrafe qui te tient le tutu,
Acceptez, je vous prie, chère amie, voulez-vous,
Dites oui, sans chichi, laissez-moi te dire "vous".
Laissez-moi t’éplucher, vous courrir dans les voiles.
C’est toi seule que je veux, c’est vous ma femme à poil.
Il me tarde, ma mie, s’il te plaît mademoiselle,
A vos pieds, je supplie, devenez ma femelle.
Vous, vous, vous, vous, ô vous, oui toi oui, yes ô you.
Votre bouche votre nez, tes épaules, vos genoux.
Tout de vous, tout, oui, tout : je veux tout vous ravir.
Je veux tout vous voler pour vous appartenir.
Quand vos mains me tutoient, quand du doigt je dis "tu",
Quand vous gardez vos bas pour être encore plus nue,
A l’instant où j’oublie mes noms et mes adresses,
L’animal est lâché à vos trousses, princesse.
Je te flaire, je t’effleure, je vous frôle, je vous hume.
Je m’en vais lentement vous voler dans les plumes.
Laissez-moi t’allumer dans un coin du boudoir.
Laissez-moi, chère amie, te dire "vous" dans le noir.
Vous, vous, vous, vous, ô vous, oui toi oui, yes ô you.
Vos mains vos reins, vos seins, tes cuisses, ton cul, ton cou.
Tout de vous, tout, oui, tout : je veux tout vous ravir.
Je veux tout vous voler pour vous appartenir.
Ma danseuse, ma sirène, ma Vénus, ma nénette,
Laissez-moi de ce pas vous marier sous la couette.
Venez chérie, venez, dis-moi oui, voulez-vous.
Mon amour, ma Julie, laissez-moi te dire Vous.