Les paroles de la chanson
« Nuit du chasseur »
Don Choa
Tout pour le tout et ca passe ou ca casse
Le pouls s’accélère, no stress, relaxe
Goût du danger, besoin de cash
Tout pour le tout tu es sur le coup?
Si ça part en course-poursuite
Trace et dégage les jours passent vitent
Roule fume et crâme, tousse et crache
Grosse voiture, grande famille
Parabole sur la toiture, immense villa, je file dans la nature
Voila mes rêves, immatures aux yeux de certains
Tu dirais plus ça si tu me voyais rouler en 4 x 4 demain
En fait je m’en fous tant que j’ai ma tête et mes "cojones"
Je dirais que vivre vaut le coup
Je rappe pour ceux et celles qui se reconnaissent
Entre routine et dangers imprévus
Une fois les conneries faites tu ne peux pas revenir au début
Perdu dans ce monde ingrat ces sombres impasses
Tu cherches un pigeon bien gras ou de bonnes chiennes classes
Nuit du chasseur, frisson, stress, rue poisseuse, saison sèche
Tant qu’il y’en a qui en veulent, il y en a qui en vendent
Et si tu te sens seul, travaille en bande
Ouvre grand ta gueule pour qu’on t’entende
J’ai une poussière dans l’oeil
Une douleur dans le ventre le sol en feu, pauvres enfants
Le ciel en deuil, le monde en sang
Chacun devant Dieu tout le monde ensemble
Nos meilleurs voeux lout le monde s’en branle
L’État nous veut sous sa dépendance
Comme un troupeau de boeufs, attends la sentence
Ce qui compte pour eux, le compte en banque
Leur ambiance joyeuse devient sanglante
Si tu rentres dans le jeu, ne fais pas semblant
Chemin dangereux démarre en pente
Les tenants nerveux, les stups en planque
Avocats verreux les toxs en manque
S’il y’a de l’enjeu direct ça plante
En moins de deux SAMU, Urgence
Il y en a qui meurent pendant qu’il y en a qui dansent
Si tu veux la sûreté, recherche la prudence
De nos jours à qui tu peux donner ta confiance
Époque crapuleuse, chacun sa chance
Tout à l’air hasardeux, rien n’est perdu d’avance
La foi et la volonté inversent la tendance
Vivre avec peu? Qui s’en contente?
Vivre avec mieux? L’occase est tentante
Mauvais choix, erreur faut bien que tu te planques
La faim peut changer la façon dont tu penses
Tu te vois l’arme à la main, les billets dans le sac
Ça ne te sert plus à rien si t’es coincé dans le sas
On me dit que je suis gamin ou attardé mental
J’arrive comme ce lycéen qui a tiré dans le tas
Rasseyiez-vous c’est pas l’heure de l’entracte
Je passe en douceur comme une lettre à l’anthrax
Vos parents chassent, m’arrêter, n’y pense pas
Plus rien me retient on est un paquet dans ce cas
Il faut lutter pour se libérer de ses entraves
J’emmerde l’Elysée, le pouvoir central
N’as-tu pas reniflé cette odeur de scandale?
C’est la même vieille danse de vandale
La machine s’emballe même si on se sent mal faut aller gagner sa vie
Une pensée pour ceux qui y laissent la leur
Dans la chaleur de la nuit
Tu peux tout ramener ou tout perdre
Quand une porte est fermée beaucoup d’autres sont ouvertes
Les anciens ont souffert, laisse les soufler
Mets toi à couvert, le shérif veut shooter
T’as des larmes au souper mais tu veux t’affranchir
Donne moi la nourriture et laisse moi grandir
Le pouls s’accélère, no stress, relaxe
Goût du danger, besoin de cash
Tout pour le tout tu es sur le coup?
Si ça part en course-poursuite
Trace et dégage les jours passent vitent
Roule fume et crâme, tousse et crache
Grosse voiture, grande famille
Parabole sur la toiture, immense villa, je file dans la nature
Voila mes rêves, immatures aux yeux de certains
Tu dirais plus ça si tu me voyais rouler en 4 x 4 demain
En fait je m’en fous tant que j’ai ma tête et mes "cojones"
Je dirais que vivre vaut le coup
Je rappe pour ceux et celles qui se reconnaissent
Entre routine et dangers imprévus
Une fois les conneries faites tu ne peux pas revenir au début
Perdu dans ce monde ingrat ces sombres impasses
Tu cherches un pigeon bien gras ou de bonnes chiennes classes
Nuit du chasseur, frisson, stress, rue poisseuse, saison sèche
Tant qu’il y’en a qui en veulent, il y en a qui en vendent
Et si tu te sens seul, travaille en bande
Ouvre grand ta gueule pour qu’on t’entende
J’ai une poussière dans l’oeil
Une douleur dans le ventre le sol en feu, pauvres enfants
Le ciel en deuil, le monde en sang
Chacun devant Dieu tout le monde ensemble
Nos meilleurs voeux lout le monde s’en branle
L’État nous veut sous sa dépendance
Comme un troupeau de boeufs, attends la sentence
Ce qui compte pour eux, le compte en banque
Leur ambiance joyeuse devient sanglante
Si tu rentres dans le jeu, ne fais pas semblant
Chemin dangereux démarre en pente
Les tenants nerveux, les stups en planque
Avocats verreux les toxs en manque
S’il y’a de l’enjeu direct ça plante
En moins de deux SAMU, Urgence
Il y en a qui meurent pendant qu’il y en a qui dansent
Si tu veux la sûreté, recherche la prudence
De nos jours à qui tu peux donner ta confiance
Époque crapuleuse, chacun sa chance
Tout à l’air hasardeux, rien n’est perdu d’avance
La foi et la volonté inversent la tendance
Vivre avec peu? Qui s’en contente?
Vivre avec mieux? L’occase est tentante
Mauvais choix, erreur faut bien que tu te planques
La faim peut changer la façon dont tu penses
Tu te vois l’arme à la main, les billets dans le sac
Ça ne te sert plus à rien si t’es coincé dans le sas
On me dit que je suis gamin ou attardé mental
J’arrive comme ce lycéen qui a tiré dans le tas
Rasseyiez-vous c’est pas l’heure de l’entracte
Je passe en douceur comme une lettre à l’anthrax
Vos parents chassent, m’arrêter, n’y pense pas
Plus rien me retient on est un paquet dans ce cas
Il faut lutter pour se libérer de ses entraves
J’emmerde l’Elysée, le pouvoir central
N’as-tu pas reniflé cette odeur de scandale?
C’est la même vieille danse de vandale
La machine s’emballe même si on se sent mal faut aller gagner sa vie
Une pensée pour ceux qui y laissent la leur
Dans la chaleur de la nuit
Tu peux tout ramener ou tout perdre
Quand une porte est fermée beaucoup d’autres sont ouvertes
Les anciens ont souffert, laisse les soufler
Mets toi à couvert, le shérif veut shooter
T’as des larmes au souper mais tu veux t’affranchir
Donne moi la nourriture et laisse moi grandir
