Les paroles de la chanson
« Nuit blanche »
Renan Luce
Je passe encore une nuit blanche
Une traversée de la Manche
Je compte les moutons qui s’y baignent
Me cogne au ding dong de Big Ben
Je passe encore une nuit blanche
Une heure sur le dos deux sur la tranche
J’essaie un rêve puis le rature
Passe par toutes les températures
Mes yeux ouverts cartographient
Grâce au diodes de la chaîne hi-fi
La moindre trace sur le mur
Que laissent les défauts de peinture
Et j’ai déjà pu répertorier
Une libellule deux fox-terriers
Un truc qui ressemble à la France
Il manque juste un bout de Provence
Et toi tu dors, conquistador
Dans ton Amérique, on s’endort si vite
J’aim’rais t’greffer les bras d’Morphée
Pour m’y blottir et enfin dormir
Je passe encore une nuit blanche
Et toi dans ta bulle tu scies des branches
C’n’est plus une bande dessinée
Mais c’est une forêt qu’t’as décimée
J’ai tout fait pour percer ta bulle
Une quinte de toux que je simule
Mais pour t’empêcher de me fausser
Compagnie je peux me brosser
Et demain tu me feras l’affront
La marque d’oreiller sur le front
Tu diras, culot inouï
"J’n’ai pas fermé l’oeil de la nuit!"
A l’heure de mettre pied à terre
J’aurai sous les yeux deux cratères
Il faut croire que mon sommeil
Est en ch’ville avec le soleil
Et toi tu dors, conquistador
Dans ton Amérique, on s’endort si vite
J’aim’rais t’greffer les bras d’Morphée
Pour m’y blottir et enfin dormir
Mais toi tu dors, conquistador
Dans ton Amérique, on s’endort si vite
J’aim’rais t’greffer les bras d’Morphée
Pour m’y blottir et enfin dormir
Mais toi tu dors, conquistador
Dans ton Amérique, on s’endort si vite
J’aim’rais t’greffer les bras d’Morphée
Pour m’y blottir et enfin dormir
Une traversée de la Manche
Je compte les moutons qui s’y baignent
Me cogne au ding dong de Big Ben
Je passe encore une nuit blanche
Une heure sur le dos deux sur la tranche
J’essaie un rêve puis le rature
Passe par toutes les températures
Mes yeux ouverts cartographient
Grâce au diodes de la chaîne hi-fi
La moindre trace sur le mur
Que laissent les défauts de peinture
Et j’ai déjà pu répertorier
Une libellule deux fox-terriers
Un truc qui ressemble à la France
Il manque juste un bout de Provence
Et toi tu dors, conquistador
Dans ton Amérique, on s’endort si vite
J’aim’rais t’greffer les bras d’Morphée
Pour m’y blottir et enfin dormir
Je passe encore une nuit blanche
Et toi dans ta bulle tu scies des branches
C’n’est plus une bande dessinée
Mais c’est une forêt qu’t’as décimée
J’ai tout fait pour percer ta bulle
Une quinte de toux que je simule
Mais pour t’empêcher de me fausser
Compagnie je peux me brosser
Et demain tu me feras l’affront
La marque d’oreiller sur le front
Tu diras, culot inouï
"J’n’ai pas fermé l’oeil de la nuit!"
A l’heure de mettre pied à terre
J’aurai sous les yeux deux cratères
Il faut croire que mon sommeil
Est en ch’ville avec le soleil
Et toi tu dors, conquistador
Dans ton Amérique, on s’endort si vite
J’aim’rais t’greffer les bras d’Morphée
Pour m’y blottir et enfin dormir
Mais toi tu dors, conquistador
Dans ton Amérique, on s’endort si vite
J’aim’rais t’greffer les bras d’Morphée
Pour m’y blottir et enfin dormir
Mais toi tu dors, conquistador
Dans ton Amérique, on s’endort si vite
J’aim’rais t’greffer les bras d’Morphée
Pour m’y blottir et enfin dormir