Les paroles de la chanson
« Nous savons maintenant »
Georges Dor
Nous savons maintenant que la vie est bien vraie
Que le passé se joue de nos désirs secrets
Qu’elle est faite d’un peu de tout ce qu’on n’a pas
Et qu’il y a bien peu de la vie au trépas
Nous savons maintenant ce qui est advenu
De ceux qui ont passé par la grande avenue
Nous avons maintenant et leur nom et leur âge
Et la même faiblesse et le même courage
Nous savons maintenant tout ce qu’il faut savoir
Pour faire ce qu’il faut du matin jusqu’au soir
Mais nous ne savons rien de cet immense été
Qu’on nous promet un jour et pour l’éternité
Nous nous taisons souvent mais nous parlons aussi
On ne se lasse pas de se dire qu’on s’aime
On le redit sans cesse et pour s’en assurer
De temps en temps on fait, on fait semblant d’aimer
Nous savons maintenant que la vie est miroir
Déformant et nos rêves et nos plus beaux espoirs
On y a mis le temps mais il a bien fallu
Se défaire un beau jour des illusions perdues
Et reprendre la vie où on l’avait laissée
Et reprendre la vie où elle était rendue
Le long d’un chemin creux comme un enfant assis
L’enfant c’était un songe et la jeunesse aussi
Ni l’or ni l’Orient, ni la gloire ou l’honneur
Ni une femme nue dans toute sa splendeur
Et ni aucune étreinte aussi longue qu’elle soit
Ne saurais remplacer le tout premier émoi
Nous savons maintenant qu’il ne nous reste plus
Qu’à soustraire nos vies à tant de choses vaines
La vie gagne toujours même la vie perdue
Car nous avions rêvé d’une vie surhumaine
Que le passé se joue de nos désirs secrets
Qu’elle est faite d’un peu de tout ce qu’on n’a pas
Et qu’il y a bien peu de la vie au trépas
Nous savons maintenant ce qui est advenu
De ceux qui ont passé par la grande avenue
Nous avons maintenant et leur nom et leur âge
Et la même faiblesse et le même courage
Nous savons maintenant tout ce qu’il faut savoir
Pour faire ce qu’il faut du matin jusqu’au soir
Mais nous ne savons rien de cet immense été
Qu’on nous promet un jour et pour l’éternité
Nous nous taisons souvent mais nous parlons aussi
On ne se lasse pas de se dire qu’on s’aime
On le redit sans cesse et pour s’en assurer
De temps en temps on fait, on fait semblant d’aimer
Nous savons maintenant que la vie est miroir
Déformant et nos rêves et nos plus beaux espoirs
On y a mis le temps mais il a bien fallu
Se défaire un beau jour des illusions perdues
Et reprendre la vie où on l’avait laissée
Et reprendre la vie où elle était rendue
Le long d’un chemin creux comme un enfant assis
L’enfant c’était un songe et la jeunesse aussi
Ni l’or ni l’Orient, ni la gloire ou l’honneur
Ni une femme nue dans toute sa splendeur
Et ni aucune étreinte aussi longue qu’elle soit
Ne saurais remplacer le tout premier émoi
Nous savons maintenant qu’il ne nous reste plus
Qu’à soustraire nos vies à tant de choses vaines
La vie gagne toujours même la vie perdue
Car nous avions rêvé d’une vie surhumaine