Les paroles de la chanson
« Notre rue »
Tohama
Notre rue à Paris, mais c’est notre village
Notre rue à Paris, mais c’est notre quartier
Notre rue à Paris, c’est notre paysage
Plein de visages familiers
Notre rue
C’est les gens qu’ l’on connaît
Notre rue
Le voisin, le pipelet
Le salut
Du r’traité qui, l’ matin,
S’en va chercher son pain
Son journal et son lait
Notre rue
C’est l’enseigne du tabac
Suspendue
L’horloge et le bougnat
Un barbu
Les boueux en bretelles
Qui s’ balancent les poubelles
Dans la rue
Notre rue a parfois des allures provinciales
C’est ainsi qu’ l’on entend au creux d’ l’après-midi
La cloche de l’église ou d’ l’école communale
Douces cigales de Paris
Notre rue
C’est derrière le rideau
Toutes menues
Les vieilles dames au tricot
Et la rue
A l’air d’être endormie
Loin du monde et du bruit
Des passants, des autos
Notre rue
C’est le vieux marronnier
Tout chenu
Dont les feuilles sont tombées
Si menues
Et qu’un vieux cantonnier
Tranquille a ramassées
Dans la rue
Notre rue a pour nous un p’tit air de famille
Et nous l’aimons un peu comme notre foyer
Elle est triste parfois, parfois fraîche et gentille
Lorsque brille un soleil d’été
Notre rue
C’est le bistrot du coin
Notre rue
La fille du marchand d’ vin
Court vêtue
Que l’on voit au comptoir
Du matin jusqu’au soir
Parée d’un rire mutin
Notre rue
C’est la station d’ métro
Où se ruent
Le matin, au galop
Éperdus
Tous les gens du quartier
Quittant pour la journée
Notre rue
Notre rue
C’est en bas du clocher
Ou des nues
Une heure au chant léger
Heure perdue
Qui fuit vers l’horizon
En frôlant les maisons
De la rue
Notre rue à Paris, mais c’est notre quartier
Notre rue à Paris, c’est notre paysage
Plein de visages familiers
Notre rue
C’est les gens qu’ l’on connaît
Notre rue
Le voisin, le pipelet
Le salut
Du r’traité qui, l’ matin,
S’en va chercher son pain
Son journal et son lait
Notre rue
C’est l’enseigne du tabac
Suspendue
L’horloge et le bougnat
Un barbu
Les boueux en bretelles
Qui s’ balancent les poubelles
Dans la rue
Notre rue a parfois des allures provinciales
C’est ainsi qu’ l’on entend au creux d’ l’après-midi
La cloche de l’église ou d’ l’école communale
Douces cigales de Paris
Notre rue
C’est derrière le rideau
Toutes menues
Les vieilles dames au tricot
Et la rue
A l’air d’être endormie
Loin du monde et du bruit
Des passants, des autos
Notre rue
C’est le vieux marronnier
Tout chenu
Dont les feuilles sont tombées
Si menues
Et qu’un vieux cantonnier
Tranquille a ramassées
Dans la rue
Notre rue a pour nous un p’tit air de famille
Et nous l’aimons un peu comme notre foyer
Elle est triste parfois, parfois fraîche et gentille
Lorsque brille un soleil d’été
Notre rue
C’est le bistrot du coin
Notre rue
La fille du marchand d’ vin
Court vêtue
Que l’on voit au comptoir
Du matin jusqu’au soir
Parée d’un rire mutin
Notre rue
C’est la station d’ métro
Où se ruent
Le matin, au galop
Éperdus
Tous les gens du quartier
Quittant pour la journée
Notre rue
Notre rue
C’est en bas du clocher
Ou des nues
Une heure au chant léger
Heure perdue
Qui fuit vers l’horizon
En frôlant les maisons
De la rue