Les paroles de la chanson
« Notre dernier automne »
Annie Cordy
Lorsque nous en serons à la fin de notre âge
Quand nous lirons le temps passé sur nos visages
Et que tant d’hivers auront blanchi nos cheveux
Quand je ne serai belle encore que dans tes yeux
Lorsque nous en serons à cette joie de vivre
Où nous serons heureux simplement de survivre
Afin qu’un jour encore avant que de partir
Nous partagions tous deux un regard un sourire
Dans la maison fanée
Sans témoin sans personne
Nous verrons s’effeuiller
Notre dernier automne
Le soir à la veillée
Le coeur plein de tendresse
Nous rêverons au passé
Sans regret sans tristesse
Lorsque nous ne serons que deux vies hésitantes
Quand nous ne serons plus que deux ombres tremblantes
Lorsque nos mains ridées dans un dernier effort
Pour ne plus se quitter se chercheront encore
Lorsque nous en serons à la fin de l’histoire
Où le présent déjà se perd dans la mémoire
Lorsque nous n’aurons plus pour unique avenir
Que l’espace d’un rêve, le temps d’un souvenir
Dans la maison fanée
Sans témoin sans personne
Nous verrons s’effeuiller
Notre dernier automne
L’un près de l’autre assis
Comme en cet instant même
Je te dirai... Merci
Je te dirai... Je t’aime
Quand nous lirons le temps passé sur nos visages
Et que tant d’hivers auront blanchi nos cheveux
Quand je ne serai belle encore que dans tes yeux
Lorsque nous en serons à cette joie de vivre
Où nous serons heureux simplement de survivre
Afin qu’un jour encore avant que de partir
Nous partagions tous deux un regard un sourire
Dans la maison fanée
Sans témoin sans personne
Nous verrons s’effeuiller
Notre dernier automne
Le soir à la veillée
Le coeur plein de tendresse
Nous rêverons au passé
Sans regret sans tristesse
Lorsque nous ne serons que deux vies hésitantes
Quand nous ne serons plus que deux ombres tremblantes
Lorsque nos mains ridées dans un dernier effort
Pour ne plus se quitter se chercheront encore
Lorsque nous en serons à la fin de l’histoire
Où le présent déjà se perd dans la mémoire
Lorsque nous n’aurons plus pour unique avenir
Que l’espace d’un rêve, le temps d’un souvenir
Dans la maison fanée
Sans témoin sans personne
Nous verrons s’effeuiller
Notre dernier automne
L’un près de l’autre assis
Comme en cet instant même
Je te dirai... Merci
Je te dirai... Je t’aime