Les paroles de la chanson
« Nos vieux amours »
Louis Capart
NOS VIEUX AMOURS
COUPLET 1
Ne laissons pas nos vieilles amours disparaître
Il se pourrait qu’une envie les fasse renaître
Que des images d’autrefois
Nourrissent des regrets sournois
A l’instant même ou l’on rêvait de délivrance
Que les idylles du passé
Souvenirs à peine effacés
Nous brûlent encor d’une secrète souffrance.
Ne jetons pas nos belles amours sans comprendre
Qu’un grand feu mal éteint peut encor nous surprendre
Que sous les décombres fumants
La flamme peut à tout moment
Au moindre coup de vent rejaillir de la cendre
Que les remords incandescents
Comme la lave d’un volcan
Pourraient embraser tous nos rêves les plus tendres.
REFRAIN
Pour vivre un vrai bonheur sans faille
Loin des larmes et des batailles
On trahirait sans regret nos vieilles romances
Et l’on se prendrait à rêver
De sa jeunesse retrouvée
Comme un miracle à l’aube des secondes chances.
COUPLET 2
Ne fermons pas la porte au vent des amours mortes
Cette douleur en nous qui garde pour escorte
Les témoins gênants du passé
Les vêtements chauds bien cachés
Au plus profond du trop lourd bagage qu’on porte
Qui peut dire en quelle saison
Demain nous nous envolerons
En quel climat frileux nos folies nous transportent
Ne jetons pas trop vite au gré du temps qui passe
Tous les plaisirs éteints dont on garde les traces
Du plus tendre des souvenirs
Au plus fragile des soupirs
Dans la chair mise à nu sous notre carapace
Qui peut dire en quelle évasion
Demain nous nous écorcherons
En quel pays de froid notre vie se déplace.
REFRAIN
COUPLET 3
Ne jetons pas nos vieux amours par la fenêtre
Une partie de nous pourrait bien disparaître
Comme la tendresse en allée
Comme ce membre mutilé
Nous fait encor souffrir à l’endroit de l’absence
Nous avons pleuré si souvent
Qu’on ne peut plus perdre de temps
Quand les grands froids s’installent sur notre existence.
Ne jetons pas nos vieilles amours sans défense
C’est une part de nous qui voyage en silence
Tout au bord du nouveau chemin
Tel un passager clandestin
A l’instant même où l’aventure se fait chance
Quand aux premiers regards croisés
On se reprend à exister
On tend les bras vers une nouvelle espérance.
COUPLET 1
Ne laissons pas nos vieilles amours disparaître
Il se pourrait qu’une envie les fasse renaître
Que des images d’autrefois
Nourrissent des regrets sournois
A l’instant même ou l’on rêvait de délivrance
Que les idylles du passé
Souvenirs à peine effacés
Nous brûlent encor d’une secrète souffrance.
Ne jetons pas nos belles amours sans comprendre
Qu’un grand feu mal éteint peut encor nous surprendre
Que sous les décombres fumants
La flamme peut à tout moment
Au moindre coup de vent rejaillir de la cendre
Que les remords incandescents
Comme la lave d’un volcan
Pourraient embraser tous nos rêves les plus tendres.
REFRAIN
Pour vivre un vrai bonheur sans faille
Loin des larmes et des batailles
On trahirait sans regret nos vieilles romances
Et l’on se prendrait à rêver
De sa jeunesse retrouvée
Comme un miracle à l’aube des secondes chances.
COUPLET 2
Ne fermons pas la porte au vent des amours mortes
Cette douleur en nous qui garde pour escorte
Les témoins gênants du passé
Les vêtements chauds bien cachés
Au plus profond du trop lourd bagage qu’on porte
Qui peut dire en quelle saison
Demain nous nous envolerons
En quel climat frileux nos folies nous transportent
Ne jetons pas trop vite au gré du temps qui passe
Tous les plaisirs éteints dont on garde les traces
Du plus tendre des souvenirs
Au plus fragile des soupirs
Dans la chair mise à nu sous notre carapace
Qui peut dire en quelle évasion
Demain nous nous écorcherons
En quel pays de froid notre vie se déplace.
REFRAIN
COUPLET 3
Ne jetons pas nos vieux amours par la fenêtre
Une partie de nous pourrait bien disparaître
Comme la tendresse en allée
Comme ce membre mutilé
Nous fait encor souffrir à l’endroit de l’absence
Nous avons pleuré si souvent
Qu’on ne peut plus perdre de temps
Quand les grands froids s’installent sur notre existence.
Ne jetons pas nos vieilles amours sans défense
C’est une part de nous qui voyage en silence
Tout au bord du nouveau chemin
Tel un passager clandestin
A l’instant même où l’aventure se fait chance
Quand aux premiers regards croisés
On se reprend à exister
On tend les bras vers une nouvelle espérance.