Les paroles de la chanson
« Nique le système »
Sniper
J’dénonce le systeme dans lequel on vit tout en l’faisant
fonctionné en consommant, difficile de faire autrement
j’vis avec mon temps, suivant le troupeau comme tous les autre moutons
j’reste militant mais c’est le berger qui tient le baton
Qui nous le met dans les roues et qui nous mene en bateau
Nous fait bétom quand on marche encore à taton
et resserer tout l’état nous la met en beauté
Apres la pluie le beau temps on peut se pointé ou pas
J’suis deja blaser depuis longtemps
La France accueille à bras ouverts
mais les vitres trop laids ont vite compris que Maigret n’était qu’une brute
Mon coeur abrite la souffrance des colonies
si on dit que ce n’est qu’un détail, c’est que Lepen est un sale porc
Faire la misère c’est un beau pour les toubab
les coups bas des kondés, qu’on vrap au moeur sur les couleurs d’affiches
Je paye de mon épiderme, il n’est de commisariat qui ne referme pas devant dom
Voir l’arrivé d’un terroriste ou la violence augmenté,
puis s’acharner sur l’islamiste, fais la joie du nationaliste,
il suffit d’une chaine à audience, d’un arabe dans leur rubrique
pour outragé la vieille France, et choqué l’opinion publique,
mais que dire de la république?
C’est que pour un biko ou un negre les maigres salaires sont les memes
Donc ils touchent le sked, j’retranscris les joies et larmes
Les cris et trames, dénonce l’Etat et ses méfaits car la bouche est une arme
{Refrain: x2}
Niquer l’systeme, ils auront le feu car ils ont semé la haine,
qu’on les brule, qu’on les pende ou qu’on les jette dans la Seine,
la jeunesse du ghetto a la rage qui coule dans les veines, il faut brisé les chaines
Ne vois tu donc pas à quel point il est terrible?
Tenir dans la bile, le desespoir d’une communauté de survivre aux erreurs de la bible
Mais dans ce combat ultime je proteste et me noie dans ces sombres desseins
Où les deceptions se succedent, et où s’accroient ces certificats de decès
meme en ces heures sombres ils m’insurgent
sache que je ne cesserais de contester les conditions de vie en HLM
c’est vrai que c’est vrai, mais la France c’est pas la Hongrie
Ici il faut que tu traines ton pedigree pour que tu puisses un jour te pretendre libre
Elle cherche à bruler nos racines,
tous les ans, tous les mois, tous les jours, c’est nos freres qu’elle assassine,
elle nous tchatche, elle nous ment, elle nous bluffe, elle nous fascine,
c’est l’ennemi du ghetto, un mauvais jour se dessine
Oh babylone, ton systeme est conçu pour nous enterrer plus tôt
mais ya des soldats, des vrais guerriers dans l’ghetto
avoir la foi, garder la tete, oh c’est sa qu’il faut faire pour faire lever l’bedou yagayooo
J’aimerais etre dans la peau de ce flingue
tenu dans la main d’un beur qui se verrait caler Lepen
J’aimerais etre dans la peau de ce surin
tenu dans la main d’un negre pour une balafre sur Maigret
J’emmerde la droite et leur cellu
J’aimerais que mon majeur creve l’oeil à Jean-Marie
Je me battrais pour la richesse de mes racines
quand à toi chomeur, bagarre à l’esprit
{au Refrain, x2}
J’ai vu les yeux de la haine sous un drap blanc
le mississipi tuer des innocents
la France donnait au FN plus de 13 pour cent
j’ai vu les freres combattre leur propre frere
des histoires à 5 franc, suivit d’un meurtre et d’un enterrement
j’ai vu les yeux de certains hommes politique
qui avant de penser au peuple ne cherche qu’a devenir president de la Republique
j’ai vu le reflet d’mes yeux dans ce miroir, j’ecris mes peines sur grimoire
et meme un huit de plus pour changé l’histoire
j’accuse les juges de faire preuve de préjugés
j’accuse le droit de donner à un seul homme de pouvoir nous juger
j’accuse cette engouement qu’a l’humanité pour le dégout
j’accuse les procureurs de mettre les meme sous écrous
j’accuse les chiens de l’Etat d’avoir la gachette facile
j’accuse celui qui enferme nos freres entre 4 murs
j’accuse certains pretres de vouloir toucher ce qu’on a conçu
j’accuse le concretises de n’etre qu’une bande de délinquants
j’accuse les morts subites pour un paquet d’oseille
j’accuse les dirigeants de tirer les ficelles
j’accuse les cellu trouillards des ghettos dieuseux
j’accuse l’Etat de tout leurs bizzness mafieux
j’accuse la colère de trop bien faire son boulot
j’accuse ce systeme terrien sans fric
j’accuse cet arome de trame d’etre assez fier de poli
j’accuse les élus corrompus de profité de leur status
{Refrain} ad lib
fonctionné en consommant, difficile de faire autrement
j’vis avec mon temps, suivant le troupeau comme tous les autre moutons
j’reste militant mais c’est le berger qui tient le baton
Qui nous le met dans les roues et qui nous mene en bateau
Nous fait bétom quand on marche encore à taton
et resserer tout l’état nous la met en beauté
Apres la pluie le beau temps on peut se pointé ou pas
J’suis deja blaser depuis longtemps
La France accueille à bras ouverts
mais les vitres trop laids ont vite compris que Maigret n’était qu’une brute
Mon coeur abrite la souffrance des colonies
si on dit que ce n’est qu’un détail, c’est que Lepen est un sale porc
Faire la misère c’est un beau pour les toubab
les coups bas des kondés, qu’on vrap au moeur sur les couleurs d’affiches
Je paye de mon épiderme, il n’est de commisariat qui ne referme pas devant dom
Voir l’arrivé d’un terroriste ou la violence augmenté,
puis s’acharner sur l’islamiste, fais la joie du nationaliste,
il suffit d’une chaine à audience, d’un arabe dans leur rubrique
pour outragé la vieille France, et choqué l’opinion publique,
mais que dire de la république?
C’est que pour un biko ou un negre les maigres salaires sont les memes
Donc ils touchent le sked, j’retranscris les joies et larmes
Les cris et trames, dénonce l’Etat et ses méfaits car la bouche est une arme
{Refrain: x2}
Niquer l’systeme, ils auront le feu car ils ont semé la haine,
qu’on les brule, qu’on les pende ou qu’on les jette dans la Seine,
la jeunesse du ghetto a la rage qui coule dans les veines, il faut brisé les chaines
Ne vois tu donc pas à quel point il est terrible?
Tenir dans la bile, le desespoir d’une communauté de survivre aux erreurs de la bible
Mais dans ce combat ultime je proteste et me noie dans ces sombres desseins
Où les deceptions se succedent, et où s’accroient ces certificats de decès
meme en ces heures sombres ils m’insurgent
sache que je ne cesserais de contester les conditions de vie en HLM
c’est vrai que c’est vrai, mais la France c’est pas la Hongrie
Ici il faut que tu traines ton pedigree pour que tu puisses un jour te pretendre libre
Elle cherche à bruler nos racines,
tous les ans, tous les mois, tous les jours, c’est nos freres qu’elle assassine,
elle nous tchatche, elle nous ment, elle nous bluffe, elle nous fascine,
c’est l’ennemi du ghetto, un mauvais jour se dessine
Oh babylone, ton systeme est conçu pour nous enterrer plus tôt
mais ya des soldats, des vrais guerriers dans l’ghetto
avoir la foi, garder la tete, oh c’est sa qu’il faut faire pour faire lever l’bedou yagayooo
J’aimerais etre dans la peau de ce flingue
tenu dans la main d’un beur qui se verrait caler Lepen
J’aimerais etre dans la peau de ce surin
tenu dans la main d’un negre pour une balafre sur Maigret
J’emmerde la droite et leur cellu
J’aimerais que mon majeur creve l’oeil à Jean-Marie
Je me battrais pour la richesse de mes racines
quand à toi chomeur, bagarre à l’esprit
{au Refrain, x2}
J’ai vu les yeux de la haine sous un drap blanc
le mississipi tuer des innocents
la France donnait au FN plus de 13 pour cent
j’ai vu les freres combattre leur propre frere
des histoires à 5 franc, suivit d’un meurtre et d’un enterrement
j’ai vu les yeux de certains hommes politique
qui avant de penser au peuple ne cherche qu’a devenir president de la Republique
j’ai vu le reflet d’mes yeux dans ce miroir, j’ecris mes peines sur grimoire
et meme un huit de plus pour changé l’histoire
j’accuse les juges de faire preuve de préjugés
j’accuse le droit de donner à un seul homme de pouvoir nous juger
j’accuse cette engouement qu’a l’humanité pour le dégout
j’accuse les procureurs de mettre les meme sous écrous
j’accuse les chiens de l’Etat d’avoir la gachette facile
j’accuse celui qui enferme nos freres entre 4 murs
j’accuse certains pretres de vouloir toucher ce qu’on a conçu
j’accuse le concretises de n’etre qu’une bande de délinquants
j’accuse les morts subites pour un paquet d’oseille
j’accuse les dirigeants de tirer les ficelles
j’accuse les cellu trouillards des ghettos dieuseux
j’accuse l’Etat de tout leurs bizzness mafieux
j’accuse la colère de trop bien faire son boulot
j’accuse ce systeme terrien sans fric
j’accuse cet arome de trame d’etre assez fier de poli
j’accuse les élus corrompus de profité de leur status
{Refrain} ad lib