Les paroles de la chanson
« Ni trop tôt, ni trop tard »
Jeanne Moreau
Peu m’importe la tyrannie
Et le règne des soudards
Tant qu’ils nous laissent la vie
Tant qu’aimer n’est pas trop tard
Dans tes bras ma tendre amie
De nos corps les chatteries
Ont fait périr mon cafard
Le bourdon du désespoir
A pétri toute ma vie
Le bourdon du désespoir
Des angoisses les plus noires
Peu m’importent vos sarcasmes
Et vos hoquets goguenards
Uniformes du marasme
Tant qu’aimer n’est pas trop tard
Dans tes bras ta tendre amie
A repris goût à la vie
En bénissant les hasards
Qui nous firent naître ensemble
Et pas d’un siècle d’écart
Qui nous firent naître ensemble
Ni trop tôt et ni trop tard
Que m’importent les mensonges
Dont on broda nos berceaux
Et la faux le ver qui ronge
De la mort des oripeaux
Dans tes bras mon tendre ami
Nous ferons durer la vie
Et nos rires et nos pleurs
Le bonheur comme la peine
Fait pleurer les amoureux
Le bonheur comme la peine
Mais vaut mieux pleurer à deux
Que m’importe le temps qui passe
Et s’éloigne nulle part
Le doux présent nous enlace
Tant qu’aimer n’est pas trop tard
Sais-tu bien mon tendre ami
Qu’un jour se dissout la vie
Comme s’effacent les brouillards
Mieux vaut s’estomper ensemble
Sans une seconde d’écart
Mieux vaut s’estomper ensemble
Ni trop tôt et ni trop tard
Et le règne des soudards
Tant qu’ils nous laissent la vie
Tant qu’aimer n’est pas trop tard
Dans tes bras ma tendre amie
De nos corps les chatteries
Ont fait périr mon cafard
Le bourdon du désespoir
A pétri toute ma vie
Le bourdon du désespoir
Des angoisses les plus noires
Peu m’importent vos sarcasmes
Et vos hoquets goguenards
Uniformes du marasme
Tant qu’aimer n’est pas trop tard
Dans tes bras ta tendre amie
A repris goût à la vie
En bénissant les hasards
Qui nous firent naître ensemble
Et pas d’un siècle d’écart
Qui nous firent naître ensemble
Ni trop tôt et ni trop tard
Que m’importent les mensonges
Dont on broda nos berceaux
Et la faux le ver qui ronge
De la mort des oripeaux
Dans tes bras mon tendre ami
Nous ferons durer la vie
Et nos rires et nos pleurs
Le bonheur comme la peine
Fait pleurer les amoureux
Le bonheur comme la peine
Mais vaut mieux pleurer à deux
Que m’importe le temps qui passe
Et s’éloigne nulle part
Le doux présent nous enlace
Tant qu’aimer n’est pas trop tard
Sais-tu bien mon tendre ami
Qu’un jour se dissout la vie
Comme s’effacent les brouillards
Mieux vaut s’estomper ensemble
Sans une seconde d’écart
Mieux vaut s’estomper ensemble
Ni trop tôt et ni trop tard