Les paroles de la chanson
« New york »
Jean-Michel Caradec
New York...
Elle est comme ces bateaux
Qui viennent d’Amérique
Et qui n’ont jamais vu la mer
Elle est de ces femmes fragiles
Que mon rêve imbécile
Invente chaque hiver
Elle est au lever du jour
Comme ces chansons d’amour
Qu’on a chantées la nuit
Et qui se sont enfuies
Le matin
Elle n’existe peut être pas
Mais je ne dirai pas
Pourquoi moi je l’appelle
Mon étrangère rebelle
New York
New York...
Je l’habille de crinoline
De roses d’opaline
Aux dentelles brodées par la mer
Et quand les vagues s’endorment
Elles épousent ses formes
Quand elles se couchent sur la mer
Je serais son assassin
Si je posais la main
Sur ce qui n’est qu’une ombre
Eurydice des ombres
Des enfers
Et sur ma harpe cassée
J’effleure comme Orphée
Les cordes qui n’éveillent
D’invisibles soleils
Qu’à New York
New York...
Elle est comme ces bateaux
Qui viennent d’Amérique
Et qui n’ont jamais vu la mer
Elle est de ces femmes fragiles
Que mon rêve imbécile
Invente chaque hiver
Elle est au lever du jour
Comme ces chansons d’amour
Qu’on a chantées la nuit
Et qui se sont enfuies
Le matin
Elle n’existe peut être pas
Mais je ne dirai pas
Pourquoi moi je l’appelle
Mon étrangère rebelle
New York
New York...
Je l’habille de crinoline
De roses d’opaline
Aux dentelles brodées par la mer
Et quand les vagues s’endorment
Elles épousent ses formes
Quand elles se couchent sur la mer
Je serais son assassin
Si je posais la main
Sur ce qui n’est qu’une ombre
Eurydice des ombres
Des enfers
Et sur ma harpe cassée
J’effleure comme Orphée
Les cordes qui n’éveillent
D’invisibles soleils
Qu’à New York
New York...