Les paroles de la chanson
« Ne vous déplaise »
Barbara Deschamps
J’aime rentrer dans ta maison
Quand personne ne vient te voir
Quand c’est pas l’heure des prières
Entre l’ombre, l’absence et le marbre
J’aime ta maison de pierres
Je viens en mendiante ou en damnée
Qu’importe le titre de noblesse
On n’est pas là pour me juger
Y a personne derrière l’autel
Et puis ta porte, elle est jamais fermée
Ne vous déplaise
Je viens sans réfléchir et sans attente
Comme un besoin de visiter
Un rendez-vous dont l’importance
A comme un goût d’éternité
J’aime ouvrir les yeux dans ton silence
M’habiller de tout ce respect
Qui donne à l’âme une autre conscience
Entre ce qu’on dit et ce qu’on n’a pas fait
J’aime ton asile de confidences
Je viens, qu’elle soit de village ou de forteresse
Sur le passage de mes errances
En cathédrales ou en chapelles
J’y pose la même importance
On y voit la même lumière
Ne vous déplaise
Je viens sans prévenir et sans offrande
Les mains ouvertes ou les mains fermées
Qu’importe cette différence
Puisque c’est toi mon invité
J’aime poser tous mes bagages
Au pas de porte de ta demeure
Au terme d’un de ces voyages
Qui laissent des traces à la pointe du cœur
J’aime la paix de ta demeure
Alors je rentre dans ta maison
Quand personne ne vient te voir
Quand c’est pas l’heure des prières
Entre l’ombre, l’absence et le marbre
Entre le silence, la paix et la lumière
Je viens sûrement te raconter mon histoire
Loin du bruit, des hommes et de leurs pères
{x2:}
J’aime ta maison de pierres
Ne vous déplaise
Quand personne ne vient te voir
Quand c’est pas l’heure des prières
Entre l’ombre, l’absence et le marbre
J’aime ta maison de pierres
Je viens en mendiante ou en damnée
Qu’importe le titre de noblesse
On n’est pas là pour me juger
Y a personne derrière l’autel
Et puis ta porte, elle est jamais fermée
Ne vous déplaise
Je viens sans réfléchir et sans attente
Comme un besoin de visiter
Un rendez-vous dont l’importance
A comme un goût d’éternité
J’aime ouvrir les yeux dans ton silence
M’habiller de tout ce respect
Qui donne à l’âme une autre conscience
Entre ce qu’on dit et ce qu’on n’a pas fait
J’aime ton asile de confidences
Je viens, qu’elle soit de village ou de forteresse
Sur le passage de mes errances
En cathédrales ou en chapelles
J’y pose la même importance
On y voit la même lumière
Ne vous déplaise
Je viens sans prévenir et sans offrande
Les mains ouvertes ou les mains fermées
Qu’importe cette différence
Puisque c’est toi mon invité
J’aime poser tous mes bagages
Au pas de porte de ta demeure
Au terme d’un de ces voyages
Qui laissent des traces à la pointe du cœur
J’aime la paix de ta demeure
Alors je rentre dans ta maison
Quand personne ne vient te voir
Quand c’est pas l’heure des prières
Entre l’ombre, l’absence et le marbre
Entre le silence, la paix et la lumière
Je viens sûrement te raconter mon histoire
Loin du bruit, des hommes et de leurs pères
{x2:}
J’aime ta maison de pierres
Ne vous déplaise