Les paroles de la chanson
« Ne plus avoir peur »
Rastamytho
« Ne plus avoir peur », Rastamytho (2010)
Refrain 1 :
Que des élans solidaires nous amènent à nous aider entre frères, et nous apprennent
A ne plus avoir peur, (no-oh!) Oublier la douleur (la douleur)
Ne plus avoir peur, (no-oh!) Oublier la douleur.
Couplet 1:
Solidarité est le fin mot de mes idées, la seule manière de résorber toutes les larmes qui vont couler;
Oublier toutes les peines (peines), déchirer tous les problèmes, abolir toute cette haine car aujourd’hui trop de coeurs saignent.
La maladie est un fléau, elle a montré bien assez tôt qu’elle pouvait tuer des marmots, plus que ce disent les journaux.
« Africa » meurt de trop s’aimer, l’occident ne fait que cautionner, le pape meurtrier agrégé les empêche de se protéger!
Refrain 2:
Tous les « freedom fightaz » sont unis pour enrayer la terreur à l’infini,
Et ne plus avoir peur, (no-oh!) Oublier la douleur (la douleur)
Ne plus avoir peur, (no-oh!) Oublier la douleur.
Couplet 2:
Jeune homme lève-toi, je ne te le répéterai pas, car « noman » il ne tient qu’à toi de changer ce qui ne va pas.
L’Unité est la « solution », militer en « association », et démontrer à ces bouffons qu’il ne faut pas nous prendre pour des cons!
Alors « sista », les mains en l’air (en l’ai-air) : on a tout un monde à refaire.
Alors jeune homme ne te laisse pas faire (ne te laisse pas fai-ai-aire) : corrige tout ce qui va de travers,
Pour éradiquer la terreur, pour oublier le mot malheur.
Apprendre à nos frères, apprendre à nos soeurs, à dépasser leurs rancoeurs
Refrain 3:
Et à ne plus avoir peur, (no-oh!) Oublier la douleur (la douleur)
Ne plus avoir peur, (no-oh!) Oublier la douleur.
Refrain 1 :
Que des élans solidaires nous amènent à nous aider entre frères, et nous apprennent
A ne plus avoir peur, (no-oh!) Oublier la douleur (la douleur)
Ne plus avoir peur, (no-oh!) Oublier la douleur.
Couplet 1:
Solidarité est le fin mot de mes idées, la seule manière de résorber toutes les larmes qui vont couler;
Oublier toutes les peines (peines), déchirer tous les problèmes, abolir toute cette haine car aujourd’hui trop de coeurs saignent.
La maladie est un fléau, elle a montré bien assez tôt qu’elle pouvait tuer des marmots, plus que ce disent les journaux.
« Africa » meurt de trop s’aimer, l’occident ne fait que cautionner, le pape meurtrier agrégé les empêche de se protéger!
Refrain 2:
Tous les « freedom fightaz » sont unis pour enrayer la terreur à l’infini,
Et ne plus avoir peur, (no-oh!) Oublier la douleur (la douleur)
Ne plus avoir peur, (no-oh!) Oublier la douleur.
Couplet 2:
Jeune homme lève-toi, je ne te le répéterai pas, car « noman » il ne tient qu’à toi de changer ce qui ne va pas.
L’Unité est la « solution », militer en « association », et démontrer à ces bouffons qu’il ne faut pas nous prendre pour des cons!
Alors « sista », les mains en l’air (en l’ai-air) : on a tout un monde à refaire.
Alors jeune homme ne te laisse pas faire (ne te laisse pas fai-ai-aire) : corrige tout ce qui va de travers,
Pour éradiquer la terreur, pour oublier le mot malheur.
Apprendre à nos frères, apprendre à nos soeurs, à dépasser leurs rancoeurs
Refrain 3:
Et à ne plus avoir peur, (no-oh!) Oublier la douleur (la douleur)
Ne plus avoir peur, (no-oh!) Oublier la douleur.