Les paroles de la chanson
« Ne pleure pas »
Mannick
Ne pleure pas, mon amour, ne pleure pas, déjà
La nuit descend, mon amour, la nuit descend, tout bas
Mais cette fois, tu le sais, je dormirai sans toi
Ce sera long, mon amour, j’aurai peut-être froid
Tu avais les yeux dans le ciel
Aux couleurs d’un chemin d’étoiles
Et j’ai sombré jusqu’à plus rien
Dans le source au creux de tes mains
A trop aimer le vent où se brisent les ailes
J’ai traversé les mots pour aller jusqu’à toi
Voulant vivre comme toi, comme on vit de soleil
Mais c’est fini tu vois et j’ai tant sommeil
Ne pleure pas, mon amour, ne pleur pas déjà
La nuit descend, mon amour, la nuit descend, tout bas
Tu trouveras, je le sais, d’autres chemins que moi
Tu t’es trompé, mon amour, je peux mourir sans toi!
Tu disais : la vie nous va bien
Nous aurons des années lumières
Beaucoup d’amour, un peu de pain
Des enfants, plus beaux qu’un " je t’aime "
Je préférais la nuit, j’aimais trop le mystère
Mes pas s’arrêtent ici, continue, solitaire
Je vais dormir là-bas, comme on dort en hiver
Mais c’est fini tu vois, et j’ai tant sommeil!
La nuit descend, mon amour, la nuit descend, tout bas
Mais cette fois, tu le sais, je dormirai sans toi
Ce sera long, mon amour, j’aurai peut-être froid
Tu avais les yeux dans le ciel
Aux couleurs d’un chemin d’étoiles
Et j’ai sombré jusqu’à plus rien
Dans le source au creux de tes mains
A trop aimer le vent où se brisent les ailes
J’ai traversé les mots pour aller jusqu’à toi
Voulant vivre comme toi, comme on vit de soleil
Mais c’est fini tu vois et j’ai tant sommeil
Ne pleure pas, mon amour, ne pleur pas déjà
La nuit descend, mon amour, la nuit descend, tout bas
Tu trouveras, je le sais, d’autres chemins que moi
Tu t’es trompé, mon amour, je peux mourir sans toi!
Tu disais : la vie nous va bien
Nous aurons des années lumières
Beaucoup d’amour, un peu de pain
Des enfants, plus beaux qu’un " je t’aime "
Je préférais la nuit, j’aimais trop le mystère
Mes pas s’arrêtent ici, continue, solitaire
Je vais dormir là-bas, comme on dort en hiver
Mais c’est fini tu vois, et j’ai tant sommeil!