Paroles.cc - Chercher

Les paroles de la chanson
« Ne dit jamais »
Sinik

[Refrain] :
Ne dis jamais j’ai tout appris, dans ce monde nul ne sait
dans ce monde où rien n’est acquis, plus j’en bave et plus j’en aurais
ne dis jamais tout est foutu quand les jeux sont même pas fait
prends les choses en mains et fonce et surtout ne dis jamais jamais

[Refrain]

[Sinik]
Ne dis jamais que j’ai pas mérité d’avoir un disque en or
pire encore que le rap est mort mais je respire encore
ne dis jamais que tout est gris dans ce ciel
que la douleur doit cesser mais qui se plaint dans l’16ème
ne donnes jamais l’adresse à un pote
ne dis jamais karcher quand tu t’adresses à un homme
ne dis jamais où sont passés les gens aimables
les jeunes s’en veulent, j’en ai mal j’abandonne j’en ai marre
ne dis jamais y a les français y a les étrangers,
faut-il une coupe du monde pour te prouver qu’on peux se mélanger
ne dis jamais je vais braquer pour faire du fric
je viens de la banlieue j’suis condamné à faire des frites
ne dis jamais j’arréte l’école ca y est je claque la porte
j’veux raper en indé pour être blindé à mort
ne dis jamais du mal, de moi de ma click de Karim ou de Nabil
de ma rime ou de ma ville

[Refrain]

Ne dis jamais j’suis incapable trop souvent j’suis incompris
y a tellement d’rêves que j’ai du mal à accomplir
ne dis jamais j’attaque la banque avant la fermeture
t’as même pas l’âge de faire le mur mais tu veux faire le dur
ne dis jamais Jean-Marie je le trouve cool
surtout si du Magreb tu n’apprécies que le couscous
à ton avenir ne dis jamais je vais improviser
ne dis jamais quand je s’rais grand je s’rais un policier
ne dis jamais je sors en boîte, ce soir je fais la fète
surtout si le videur n’a jamais vu ta tête
ne dis jamais je me sens égaré
ne dis jamais j’suis comme tout le monde si ton appart fais 200m carré
n’oublie jamais le béton......
si tu mens ne dis jamais sur la tombe de untel
ne dis jamais jamais tout porte à croire que ça porte la poisse
fin du couplet que l’on m’apporte à boire

[Refrain]

[Vitaa]
J’adresse ces mots à ceux qui comme moi se cachent pour prier
je dresse les crocs à ceux qui osent nous déclarer forfait
même si j’ai tord d’un rêve à l’autre, je me forge en secret
et si jen....
c’est parc’que je n’dis jamais jamais