Les paroles de la chanson
« Nature morte »
Claire Diterzi
Il y avait les fleurs et du raisin
Dans la lumière posés sur la table
Moi j’étais nue mais tu ne le voyais pas
Il y avait des enfants maquillés
Des princes de fortune et le violon bien sûr
Moi je chantais mais tu n’m’entendais pas
Dans l’au-delà
Je vois ta nature morte
Tu n’es que vanité
Si tu me désavoues
Il ne reste qu’une bougie froide
Et le silence d’un gibier dans les cendres
Malgré l’amour tu ne me touches pas
Ton lit n’est plus qu’une fosse commune
Ton corps inerte un mur de lamentations
Je pris ta sainte verge mais elle ne bouge pas
Dans l’au-delà
Je vois ta nature morte
Tu n’es que vanité
Si tu me désavoues
Dans la lumière posés sur la table
Moi j’étais nue mais tu ne le voyais pas
Il y avait des enfants maquillés
Des princes de fortune et le violon bien sûr
Moi je chantais mais tu n’m’entendais pas
Dans l’au-delà
Je vois ta nature morte
Tu n’es que vanité
Si tu me désavoues
Il ne reste qu’une bougie froide
Et le silence d’un gibier dans les cendres
Malgré l’amour tu ne me touches pas
Ton lit n’est plus qu’une fosse commune
Ton corps inerte un mur de lamentations
Je pris ta sainte verge mais elle ne bouge pas
Dans l’au-delà
Je vois ta nature morte
Tu n’es que vanité
Si tu me désavoues