Les paroles de la chanson
« Naoci »
Eths
Verse le sirop de javel comme une prise habituelle Aseptique soldat s’en mêle, corrode en caressent
Et sans d’eau, j’en raffole
Je ne suis pas folle (x4)
Et si cette peau que je pelle n’était pas réelle?
Alors j’ai mangé les vers qui rampaient dans les selles Régurgité mes cheveux déracinés par les nœuds
Javeline est fille éternelle ma maîtresse rythme la prophylaxie de mon cerveau de miel Cuivre ma peau et centre mes nuits en fours sexuel... sexuel
Menstruelle, noctuelle
M sextine est l’arcane de ma sombre gélatine
Méninge avancées à l’anosmie anorganique
Mon église primitive est encore une chimère alcaline
Javeline est infra vie, salope. Javeline est acéphalie, salope Mon porte-mort émétique complote
Salope! Regardez-la! Celle-là traîne ses glaires dans ses culottes tièdes
Cette putain du tuyau utérin malaxe son saphisme de porcine
Pas deux fois, pas cette fois, moi, sénescent
Jamais tu ne reprendras
Maman mon cœur voudrais cette nuit s’arrêter Les feuilles et la terre gèlent au fond du lit a mes pieds
C’est eux!
De leurs mains sales, ils pétrissent, calcinent, tranchant ma peau
Pisse dans mon lit aux souvenir poupons
Cette odeur d’enfant flottant dans mes yeux qu’ils dînent Exalte leur appétit de spectacle à l’aspect chiffon
cénacle suce et gratte mes phalanges.
Comme une nourriture des anges.
Je ne veux pas partir seul...
Et sans d’eau, j’en raffole
Je ne suis pas folle (x4)
Et si cette peau que je pelle n’était pas réelle?
Alors j’ai mangé les vers qui rampaient dans les selles Régurgité mes cheveux déracinés par les nœuds
Javeline est fille éternelle ma maîtresse rythme la prophylaxie de mon cerveau de miel Cuivre ma peau et centre mes nuits en fours sexuel... sexuel
Menstruelle, noctuelle
M sextine est l’arcane de ma sombre gélatine
Méninge avancées à l’anosmie anorganique
Mon église primitive est encore une chimère alcaline
Javeline est infra vie, salope. Javeline est acéphalie, salope Mon porte-mort émétique complote
Salope! Regardez-la! Celle-là traîne ses glaires dans ses culottes tièdes
Cette putain du tuyau utérin malaxe son saphisme de porcine
Pas deux fois, pas cette fois, moi, sénescent
Jamais tu ne reprendras
Maman mon cœur voudrais cette nuit s’arrêter Les feuilles et la terre gèlent au fond du lit a mes pieds
C’est eux!
De leurs mains sales, ils pétrissent, calcinent, tranchant ma peau
Pisse dans mon lit aux souvenir poupons
Cette odeur d’enfant flottant dans mes yeux qu’ils dînent Exalte leur appétit de spectacle à l’aspect chiffon
cénacle suce et gratte mes phalanges.
Comme une nourriture des anges.
Je ne veux pas partir seul...