Les paroles de la chanson
« Nagib »
Charles Trenet
Nagib, je vais t’apprendre à nager
Nagib, je vais te rendre léger
Sur l’eau
Tu pourras faire la planche
Comme ton oncle Charlot
Tous les dimanches
Nagib, je vais t’apprendre la brasse
Nagib, te laisse pas prendre la place
Par ta petite cousine Myriam
Qui nage déjà comme une vraie dame
D’Amsterdam
Nagib, je vais t’apprendre à danser
Nagib, je vais t’apprendre à valser
Valser
Comme au beau temps de Vienne
Et virevolter autant qu’il m’en souvienne
Nagib, je peux aussi cet automne
Nagib, t’apprendre un peu d’Charleston
Y a qu’à lancer une jambe en l’air
Alors dans c’cas, on tourne le pied de travers
Nagib, je vais t’apprendre l’histoire
La vraie, c’est-à-dire celle qu’on peut croire
Si je te parle d’un Général, un as
Qui est né à Thèbes, s’appelait Epaminondas
Oui mais, c’n’est pas ça qui t’intéresse
Permets que je te botte les fesses
Tu n’es, mon gars, qu’un vrai démon
Et j’arrête là toutes mes leçons, mes sermons
Nagib, je te comprends, je pardonne
Nagib, tu n’es qu’un gosse de Narbonne
A qui j’voulais apprendre la nage
Comme ma maman m’apprit dans mon jeune âge
Nagib, si tu préfères barboter
Nagib, laisse donc les vagues de ce côté
Pendant que j’vais retrouver Myriam
Qui nage déjà comme une vraie dame d’Amsterdam
Ou encore mieux
Sacré bon Dieu
Comme une belle fille
La plus gentille de Paname
Oui Messieurs-Dames!
Nagib, je vais te rendre léger
Sur l’eau
Tu pourras faire la planche
Comme ton oncle Charlot
Tous les dimanches
Nagib, je vais t’apprendre la brasse
Nagib, te laisse pas prendre la place
Par ta petite cousine Myriam
Qui nage déjà comme une vraie dame
D’Amsterdam
Nagib, je vais t’apprendre à danser
Nagib, je vais t’apprendre à valser
Valser
Comme au beau temps de Vienne
Et virevolter autant qu’il m’en souvienne
Nagib, je peux aussi cet automne
Nagib, t’apprendre un peu d’Charleston
Y a qu’à lancer une jambe en l’air
Alors dans c’cas, on tourne le pied de travers
Nagib, je vais t’apprendre l’histoire
La vraie, c’est-à-dire celle qu’on peut croire
Si je te parle d’un Général, un as
Qui est né à Thèbes, s’appelait Epaminondas
Oui mais, c’n’est pas ça qui t’intéresse
Permets que je te botte les fesses
Tu n’es, mon gars, qu’un vrai démon
Et j’arrête là toutes mes leçons, mes sermons
Nagib, je te comprends, je pardonne
Nagib, tu n’es qu’un gosse de Narbonne
A qui j’voulais apprendre la nage
Comme ma maman m’apprit dans mon jeune âge
Nagib, si tu préfères barboter
Nagib, laisse donc les vagues de ce côté
Pendant que j’vais retrouver Myriam
Qui nage déjà comme une vraie dame d’Amsterdam
Ou encore mieux
Sacré bon Dieu
Comme une belle fille
La plus gentille de Paname
Oui Messieurs-Dames!