Les paroles de la chanson
« Mortlaine »
Jacques Douai
Ma noyée d’infini,
Ma noyée de peine,
Mon grand paradis,
Ma belle Mortlaine.
Ses pieds de caille sur la grève,
Ses bras d’ivoire dans la mer,
Ses cheveux d’eau, mouillés de rêves,
Son corps baigné d’éternité.
Ma noyée d’infini,
Ma noyée de peine,
Mon grand paradis,
Ma belle Mortlaine.
Par les mâts lents de la brise,
Le sable fera des châteaux,
Près de ma belle qui s’enlise,
Comme un mât de bateau perdu.
Ma noyée d’infini,
Ma noyée de peine,
Mon grand paradis,
Ma belle Mortlaine.
Les pécheurs dans leurs barques blanches,
Toutes pleines de poissons bleus,
Reviendront peut-être dimanche,
Frôler les bords silencieux.
Ma noyée d’infini,
Ma noyée de peine,
Mon grand paradis,
Ma belle Mortlaine.
Leurs pas comme des sons de harpes,
Danseront la joie des retours,
Tandis que là-bas une écharpe,
Fleurira le sable de nuit.
Ma noyée d’infini,
Ma noyée de peine,
Mon grand paradis,
Ma belle Mortlaine.
Ma noyée de peine,
Mon grand paradis,
Ma belle Mortlaine.
Ses pieds de caille sur la grève,
Ses bras d’ivoire dans la mer,
Ses cheveux d’eau, mouillés de rêves,
Son corps baigné d’éternité.
Ma noyée d’infini,
Ma noyée de peine,
Mon grand paradis,
Ma belle Mortlaine.
Par les mâts lents de la brise,
Le sable fera des châteaux,
Près de ma belle qui s’enlise,
Comme un mât de bateau perdu.
Ma noyée d’infini,
Ma noyée de peine,
Mon grand paradis,
Ma belle Mortlaine.
Les pécheurs dans leurs barques blanches,
Toutes pleines de poissons bleus,
Reviendront peut-être dimanche,
Frôler les bords silencieux.
Ma noyée d’infini,
Ma noyée de peine,
Mon grand paradis,
Ma belle Mortlaine.
Leurs pas comme des sons de harpes,
Danseront la joie des retours,
Tandis que là-bas une écharpe,
Fleurira le sable de nuit.
Ma noyée d’infini,
Ma noyée de peine,
Mon grand paradis,
Ma belle Mortlaine.