Les paroles de la chanson
« Monsieur le peintre »
Francesca Solleville
La tache rouge près du vert
A décidé de faire vibrer
Ce noir que, par un grand mystère,
Le peintre, hier, y a posé
Que la journée soit sombre ou claire
Je n’ sais pas où il a été
Dans sa journée imaginaire
Alors que je suis à côté
Monsieur le peintre
Accroche aux cintres
Ses toiles
Embrasements
Tout frissonnants
D’étoiles
Dans tous les yeux
De celles ou ceux
Qui passent
Devant les lignes
Et tous les signes
Qu’il trace
En donnant à sa main légère
Des consignes de fermeté
Il pratique avec les matières
Un langage de liberté
Le peintre, il revient de la pêche
Où les deux poissons de ses yeux
Ont pris dans la peinture fraîche
Au monde ce qu’il y a de mieux
Monsieur le peintre
Accroche aux cintres
Ses toiles
Embrasements
Tout crépitants
D’étoiles
Dans tous les cœurs
Qui, pour lui, meurent
Sur place
Devant les lignes
Et tous les signes
Qu’il trace
Il nous rejoint, il se retrouve
Ici, au milieu de la vie
Sans qu’on sache ce qu’il éprouve
À l’instant où il atterrit
Puis en toute simplicité
Tranquillement et sans épate
Il nous convie à déguster
Ses spaghettis à la tomate
A décidé de faire vibrer
Ce noir que, par un grand mystère,
Le peintre, hier, y a posé
Que la journée soit sombre ou claire
Je n’ sais pas où il a été
Dans sa journée imaginaire
Alors que je suis à côté
Monsieur le peintre
Accroche aux cintres
Ses toiles
Embrasements
Tout frissonnants
D’étoiles
Dans tous les yeux
De celles ou ceux
Qui passent
Devant les lignes
Et tous les signes
Qu’il trace
En donnant à sa main légère
Des consignes de fermeté
Il pratique avec les matières
Un langage de liberté
Le peintre, il revient de la pêche
Où les deux poissons de ses yeux
Ont pris dans la peinture fraîche
Au monde ce qu’il y a de mieux
Monsieur le peintre
Accroche aux cintres
Ses toiles
Embrasements
Tout crépitants
D’étoiles
Dans tous les cœurs
Qui, pour lui, meurent
Sur place
Devant les lignes
Et tous les signes
Qu’il trace
Il nous rejoint, il se retrouve
Ici, au milieu de la vie
Sans qu’on sache ce qu’il éprouve
À l’instant où il atterrit
Puis en toute simplicité
Tranquillement et sans épate
Il nous convie à déguster
Ses spaghettis à la tomate