Les paroles de la chanson
« Monsieur le directeur »
Louis Capart
Je savais que l’été changerait ma prison
En un rêve léger, dansant sur mes chansons
Le cœur émerveillé, dans la lumière du matin
J’ai suivi le chemin tranquille
Le premier vent mutin pour quitter la ville
Monsieur le directeur
Il ne faut plus m’attendre
Sans votre permission
Je ne suis pas à vendre
L’ombre des miséreux plane sur vos prisons
On ne vit pas heureux sous vos coups de bâton
Vos rêves orgueilleux ont eu raison du bonheur
Il sera bientôt l’heure des rancunes
Du partage meilleur de notre fortune
Monsieur le directeur
Il ne faut plus m’attendre
Sans votre permission
Je ne suis pas à vendre
Vous aviez pour vos chiens de nobles intentions
Les hommes n’étaient rien, vous étiez le patron
Il ne fallait jamais chez vous demander le pain
On allait le matin en galère
Et vous triste coquin au bord de la mer
Monsieur le directeur
Il ne faut plus m’attendre
Sans votre permission
Je ne suis pas à vendre
Tandis que vous comptez vos maisons simplement
J’ai peine à regarder la rosée dans les champs
Je vous laisse aujourd’hui la peur de vos lendemains
Finir votre festin tranquille
La soleil reviendra, tout sera facile
Monsieur le directeur
Il ne faut plus m’attendre
Sans votre permission
Je ne suis pas à vendre
Je savais que l’été changerait ma prison
En un rêve léger, dansant sur mes chansons
Le cœur émerveillé, dans la lumière du matin
J’ai suivi le chemin tranquille
Le premier vent mutin pour quitter la ville
En un rêve léger, dansant sur mes chansons
Le cœur émerveillé, dans la lumière du matin
J’ai suivi le chemin tranquille
Le premier vent mutin pour quitter la ville
Monsieur le directeur
Il ne faut plus m’attendre
Sans votre permission
Je ne suis pas à vendre
L’ombre des miséreux plane sur vos prisons
On ne vit pas heureux sous vos coups de bâton
Vos rêves orgueilleux ont eu raison du bonheur
Il sera bientôt l’heure des rancunes
Du partage meilleur de notre fortune
Monsieur le directeur
Il ne faut plus m’attendre
Sans votre permission
Je ne suis pas à vendre
Vous aviez pour vos chiens de nobles intentions
Les hommes n’étaient rien, vous étiez le patron
Il ne fallait jamais chez vous demander le pain
On allait le matin en galère
Et vous triste coquin au bord de la mer
Monsieur le directeur
Il ne faut plus m’attendre
Sans votre permission
Je ne suis pas à vendre
Tandis que vous comptez vos maisons simplement
J’ai peine à regarder la rosée dans les champs
Je vous laisse aujourd’hui la peur de vos lendemains
Finir votre festin tranquille
La soleil reviendra, tout sera facile
Monsieur le directeur
Il ne faut plus m’attendre
Sans votre permission
Je ne suis pas à vendre
Je savais que l’été changerait ma prison
En un rêve léger, dansant sur mes chansons
Le cœur émerveillé, dans la lumière du matin
J’ai suivi le chemin tranquille
Le premier vent mutin pour quitter la ville