Les paroles de la chanson
« Monsieur brassens »
Philippe Forcioli
Monsieur Brassens, vous n’êtes plus
Et depuis qu’on n’entend plus
Vos ritournelles
Ah, c’ qu’on s’emmerde ici!
La chanson est ainsi
Une infidèle
À moins que des faiseurs
Et des marchands de beurre
En ribambelle
Vous aient embastillé
Vous et votre lignée
À la poubelle
Monsieur Brassens, vous n’êtes plus
Et depuis qu’on n’entend plus
Vos mises en boîte
Les cons ont prospéré
Ils sont tous décorés
De gauche à droite
Et que je te me culture
Ah! Les faux-culs
De l’écarlate
Monsieur Brassens, vous n’êtes plus
Et depuis qu’on n’entend plus
Vos contredanses
On n’ chante plus "Tralala"
On fait Taratata
À manigance
Et le rap-extasy
C’est ça la poésie
Quelle décadence!
Monsieur Brassens, vous n’êtes plus
Et depuis qu’on n’entend plus
Chanter vos fables
C’est les copains d’accord
Mais faut passer d’abord
Dessous la table
Si d’aventure, ô gué
Tu as des penchants gay
T’es monnayable
Monsieur Brassens, vous n’êtes plus
Et depuis qu’on n’entend plus
Votre trompette
Renaud met le turbo
Pour faire croire aux marmots
Qu’il est poète
Du gaucho Guevara
À Martin l’Auvergnat
Ô galipettes!
Monsieur Brassens, vous n’êtes plus
Et depuis qu’on n’entend plus
La chanson libre
Vous seriez, j’en suis sûr
Frappé par la censure
Des bons arbitres
Réactionnaires, au moins
Révisionnistes, au train
Où vont les titres
Monsieur Brassens, vous n’êtes plus
Et depuis qu’on n’entend plus
Ces mots "Ma mie"
Il est mort le berger
Le gardien du verger
De bonhomie
Pour des roquets hurleurs
Et des bouffons moqueurs
Épidémie
Monsieur Brassens, vous n’êtes plus
Et vos temps sont révolus
Quelle amertume!
Comme vous les rosseriez
D’une mâle fessée
D’un trait de plume
Mais plus de défenseur
En souriant, je pleure
Notre infortune
Mais plus de défenseur
En souriant, je pleure
Mon infortune
Et depuis qu’on n’entend plus
Vos ritournelles
Ah, c’ qu’on s’emmerde ici!
La chanson est ainsi
Une infidèle
À moins que des faiseurs
Et des marchands de beurre
En ribambelle
Vous aient embastillé
Vous et votre lignée
À la poubelle
Monsieur Brassens, vous n’êtes plus
Et depuis qu’on n’entend plus
Vos mises en boîte
Les cons ont prospéré
Ils sont tous décorés
De gauche à droite
Et que je te me culture
Ah! Les faux-culs
De l’écarlate
Monsieur Brassens, vous n’êtes plus
Et depuis qu’on n’entend plus
Vos contredanses
On n’ chante plus "Tralala"
On fait Taratata
À manigance
Et le rap-extasy
C’est ça la poésie
Quelle décadence!
Monsieur Brassens, vous n’êtes plus
Et depuis qu’on n’entend plus
Chanter vos fables
C’est les copains d’accord
Mais faut passer d’abord
Dessous la table
Si d’aventure, ô gué
Tu as des penchants gay
T’es monnayable
Monsieur Brassens, vous n’êtes plus
Et depuis qu’on n’entend plus
Votre trompette
Renaud met le turbo
Pour faire croire aux marmots
Qu’il est poète
Du gaucho Guevara
À Martin l’Auvergnat
Ô galipettes!
Monsieur Brassens, vous n’êtes plus
Et depuis qu’on n’entend plus
La chanson libre
Vous seriez, j’en suis sûr
Frappé par la censure
Des bons arbitres
Réactionnaires, au moins
Révisionnistes, au train
Où vont les titres
Monsieur Brassens, vous n’êtes plus
Et depuis qu’on n’entend plus
Ces mots "Ma mie"
Il est mort le berger
Le gardien du verger
De bonhomie
Pour des roquets hurleurs
Et des bouffons moqueurs
Épidémie
Monsieur Brassens, vous n’êtes plus
Et vos temps sont révolus
Quelle amertume!
Comme vous les rosseriez
D’une mâle fessée
D’un trait de plume
Mais plus de défenseur
En souriant, je pleure
Notre infortune
Mais plus de défenseur
En souriant, je pleure
Mon infortune