Les paroles de la chanson
« Monospace »
Bénabar
Elle me manipule...
Elle ondule, et moi, je roucoule
Quand elle demande la lune
J’y peux rien, mais j’hulule
Elle est tellement pure
Un concentré de femme idéale
En la diluant dans l’eau
On pourrait faire dix filles normales
Ce n’est qu’une petite chanson d’amour de plus
Quand je pense à elle de drôles de choses se passent
Parfois je m’imagine
Sur la route des vacances
En bon chef de famille
Au volant d’un monospace
Avec un cercle en plastique
On appuie dessus ça sort, ça fait porte gobelet
Et un truc très pratique
Pour ranger les pièces de monnaie
Rester bloqué sur l’autoroute
Chassé croisé du mois d’août
Pourrait presque me tenter
Si elle s’assoit à mes côtés
Les enfants un peu de silence
Vous attendrez maintenant
La prochaine station essence
Fallait y penser avant
Ce n’est qu’une petite chanson d’amour de plus
Quand je pense à elle de drôles de choses se passent
On me verra peut-être
A la tombée du jour
Me balader en poussette
Au bord de la mer
Congés d’été, si elle y tient
Je deviendrai un aoûtien
Mais j’insiste sur un point
Et je déclare devant témoin
Même si elle menace, me supplie à genoux
Je n’irai pas manger une glace avec un pull autour du cou.
Elle ondule, et moi, je roucoule
Quand elle demande la lune
J’y peux rien, mais j’hulule
Elle est tellement pure
Un concentré de femme idéale
En la diluant dans l’eau
On pourrait faire dix filles normales
Ce n’est qu’une petite chanson d’amour de plus
Quand je pense à elle de drôles de choses se passent
Parfois je m’imagine
Sur la route des vacances
En bon chef de famille
Au volant d’un monospace
Avec un cercle en plastique
On appuie dessus ça sort, ça fait porte gobelet
Et un truc très pratique
Pour ranger les pièces de monnaie
Rester bloqué sur l’autoroute
Chassé croisé du mois d’août
Pourrait presque me tenter
Si elle s’assoit à mes côtés
Les enfants un peu de silence
Vous attendrez maintenant
La prochaine station essence
Fallait y penser avant
Ce n’est qu’une petite chanson d’amour de plus
Quand je pense à elle de drôles de choses se passent
On me verra peut-être
A la tombée du jour
Me balader en poussette
Au bord de la mer
Congés d’été, si elle y tient
Je deviendrai un aoûtien
Mais j’insiste sur un point
Et je déclare devant témoin
Même si elle menace, me supplie à genoux
Je n’irai pas manger une glace avec un pull autour du cou.