Les paroles de la chanson
« Mon vieux lucien »
Édith Piaf
Quelle chance que t’as
D’avoir, Lucien,
Un vieux copain
Comme moi.
Moi, tu m’ connais.
J’aime rigoler
Et m’amuser,
Pas vrai?
Alors ce soir,
Histoire de rire,
Et tu peux m’ croire
Sans réfléchir,
Comme ça pour voir
Et sans prévenir
J’ai dit aux copains :
"On va chez Lucien."
Quelle chance que t’as
D’avoir, Lucien,
Un vieux copain
Comme moi.
Tu peux t’ vanter,
Lorsque j’y pense,
D’avoir d’ la chance,
Tu sais!
Mais tu n’ dis rien.
Tu m’ laisses parler.
J’ te connais bien.
Tu m’ fais marcher.
Moi ça n’ fait rien.
Tu peux y aller,
Mais maintenant, ça va
Et dis-moi pourquoi
Tu fais cette tête-là
Comme ça?
Mais... Regarde-moi...
T’as les yeux gonflés.
Je t’ai réveillé?
Ah non! T’écrivais à ta Bien-aimée...
Qu’est-ce que tu caches là?
Là...dans ton tiroir...
Eh ben, quoi, fais voir!
...
Tu voulais m’ faire peur?!...
Ah...Ha! C’ que t’es blagueur!
Quelle chance que t’as
D’avoir, Lucien,
Un vieux copain
Comme moi.
Mai j’ te connais
Mieux que personne.
C’est c’ qui t’étonne,
Pas vrai?
Un autre que moi
N’ comprendrait pas
Mais moi j’ devine
Que tu m’ taquines.
Tu veux peut-être
Finir ta lettre...
J’ vais l’ dire aux copains,
Et puis, tu nous rejoins...
Quelle chance que t’as.
C’est pas pour dire
Que j’aime bien rire,
Crois-moi!
Un autre que moi
Aurait marché
A ton ciné.
Pas moi!
Allez, au revoir.
A tout à l’heure.
T’en fais une tête, sacré farceur!
Ah non! Bien sûr que j’ai pas peur!
Toi ’y a pas d’ danger
De te voir un jour
Souffrir et mourir
D’amour...
...Lucien!...
Eh bien quoi, Lucien!...
Donne-moi c’ que t’as dans la main!
Ah! C’ t’agréable, d’être ton copain!
Ah non, Lucien!
Allez...
Viens!...
D’avoir, Lucien,
Un vieux copain
Comme moi.
Moi, tu m’ connais.
J’aime rigoler
Et m’amuser,
Pas vrai?
Alors ce soir,
Histoire de rire,
Et tu peux m’ croire
Sans réfléchir,
Comme ça pour voir
Et sans prévenir
J’ai dit aux copains :
"On va chez Lucien."
Quelle chance que t’as
D’avoir, Lucien,
Un vieux copain
Comme moi.
Tu peux t’ vanter,
Lorsque j’y pense,
D’avoir d’ la chance,
Tu sais!
Mais tu n’ dis rien.
Tu m’ laisses parler.
J’ te connais bien.
Tu m’ fais marcher.
Moi ça n’ fait rien.
Tu peux y aller,
Mais maintenant, ça va
Et dis-moi pourquoi
Tu fais cette tête-là
Comme ça?
Mais... Regarde-moi...
T’as les yeux gonflés.
Je t’ai réveillé?
Ah non! T’écrivais à ta Bien-aimée...
Qu’est-ce que tu caches là?
Là...dans ton tiroir...
Eh ben, quoi, fais voir!
...
Tu voulais m’ faire peur?!...
Ah...Ha! C’ que t’es blagueur!
Quelle chance que t’as
D’avoir, Lucien,
Un vieux copain
Comme moi.
Mai j’ te connais
Mieux que personne.
C’est c’ qui t’étonne,
Pas vrai?
Un autre que moi
N’ comprendrait pas
Mais moi j’ devine
Que tu m’ taquines.
Tu veux peut-être
Finir ta lettre...
J’ vais l’ dire aux copains,
Et puis, tu nous rejoins...
Quelle chance que t’as.
C’est pas pour dire
Que j’aime bien rire,
Crois-moi!
Un autre que moi
Aurait marché
A ton ciné.
Pas moi!
Allez, au revoir.
A tout à l’heure.
T’en fais une tête, sacré farceur!
Ah non! Bien sûr que j’ai pas peur!
Toi ’y a pas d’ danger
De te voir un jour
Souffrir et mourir
D’amour...
...Lucien!...
Eh bien quoi, Lucien!...
Donne-moi c’ que t’as dans la main!
Ah! C’ t’agréable, d’être ton copain!
Ah non, Lucien!
Allez...
Viens!...