Les paroles de la chanson
« Mon vieil atlantique »
Charles Trenet
Qu’est-ce qu’il y a qui ne va pas, mon vieil Atlantique?
Je vois ta crinière de cheval derrière mon hublot.
Je n’ai rien d’anormal mais le goût antique
De faire danser les bateaux en faisant le gros dos.
J’ai perdu mon cheval blanc.
Mes moutons se sont enfouis.
Je les cherche par gros temps,
Le jour et la nuit.
Qu’est-ce qu’il y a qui ne va pas, toi, dans ta cabine?
Ici tout le monde va très bien
A part mon petit chien.
Que faut-il pour calmer mon vieil Atlantique,
Cette fureur déchaînée
depuis tant d’années?
Il me faut du printemps, des journées bibliques
Et de l’amour, en un mot,
Pour calmer mes maux.
Pour l’instant, c’est l’hiver
Et le vent va de travers.
La lune ajoute un zéro
A tous les hublots.
Qu’est-ce qu’il y a qui ne va pas, vieux transat qui roule?
Il y a la houle qui me saoule
Entre les repas.
Qu’est-ce qu’il y a qui va mieux,
Mon vieil Atlantique?
Il y a la couleur des cieux.
Ouvre un peu les yeux,
Le voyage est fini. Vois! Je suis statique.
Regarde les bateaux-remorques
Dans le port de New York,
Mais pourtant ne crois pas
Que sitôt tu m’oublieras.
Je resterai dans ton cœur
Encor quelques heures.
Tu verras dans la nuit
Tourner mille boutiques.
Ça te prouvera que l’Atlantique
Est encore chez lui.
Ça te prouvera que l’Atlantique
Est encor chez lui.
Je vois ta crinière de cheval derrière mon hublot.
Je n’ai rien d’anormal mais le goût antique
De faire danser les bateaux en faisant le gros dos.
J’ai perdu mon cheval blanc.
Mes moutons se sont enfouis.
Je les cherche par gros temps,
Le jour et la nuit.
Qu’est-ce qu’il y a qui ne va pas, toi, dans ta cabine?
Ici tout le monde va très bien
A part mon petit chien.
Que faut-il pour calmer mon vieil Atlantique,
Cette fureur déchaînée
depuis tant d’années?
Il me faut du printemps, des journées bibliques
Et de l’amour, en un mot,
Pour calmer mes maux.
Pour l’instant, c’est l’hiver
Et le vent va de travers.
La lune ajoute un zéro
A tous les hublots.
Qu’est-ce qu’il y a qui ne va pas, vieux transat qui roule?
Il y a la houle qui me saoule
Entre les repas.
Qu’est-ce qu’il y a qui va mieux,
Mon vieil Atlantique?
Il y a la couleur des cieux.
Ouvre un peu les yeux,
Le voyage est fini. Vois! Je suis statique.
Regarde les bateaux-remorques
Dans le port de New York,
Mais pourtant ne crois pas
Que sitôt tu m’oublieras.
Je resterai dans ton cœur
Encor quelques heures.
Tu verras dans la nuit
Tourner mille boutiques.
Ça te prouvera que l’Atlantique
Est encore chez lui.
Ça te prouvera que l’Atlantique
Est encor chez lui.