Les paroles de la chanson
« Mon seul refuge »
Nicoletta
Quand les nouvelles du monde se font grises
Au lieu de penser à faire mes valises
Pour changer de religion, fuir les églises
Et mes chaînes
Quand les nouvelles du monde se font grises
Quand il ne me reste plus rien à faire
Que d’écouter les bruits de l’enfer
Qui reviennent
Alors mon refuge, mon refuge, mon refuge
C’est toi
Je n’ai jamais trouvé rien de plus excitant
Que cet instant de vie à cœur battant
Où je me jette vers toi en oubliant
Mes problèmes
Et je n’ai plus besoin de soleil ni de lune
De piano, de guitare ou de plume
Je connais le secret de la fortune
Qui est la mienne
Mon seul refuge, mon refuge, mon refuge
C’est toi
Oh, oui! Mon refuge, mon refuge et mon seul juge
C’est toi
On peut bien m’étouffer de fausses embrassades
Me noyer de musiques et de mascarades
Tu es mon bastion et ma barricade
Mon éden
Et si quelqu’un me parle encore de toi
En bien, en mal ou en n’importe quoi
Même si, depuis longtemps, tu n’es plus là
Dans mes veines
Oh, mon refuge, mon refuge, mon refuge
C’est toi!
Comment peut-on savoir ce qu’importe le jour
Du côté jardin ou du côté cour
Tu seras mon premier, mon dernier amour
Et je t’aime
Comme mon seul refuge, mon refuge, mon seul refuge
C’est toi
Au lieu de penser à faire mes valises
Pour changer de religion, fuir les églises
Et mes chaînes
Quand les nouvelles du monde se font grises
Quand il ne me reste plus rien à faire
Que d’écouter les bruits de l’enfer
Qui reviennent
Alors mon refuge, mon refuge, mon refuge
C’est toi
Je n’ai jamais trouvé rien de plus excitant
Que cet instant de vie à cœur battant
Où je me jette vers toi en oubliant
Mes problèmes
Et je n’ai plus besoin de soleil ni de lune
De piano, de guitare ou de plume
Je connais le secret de la fortune
Qui est la mienne
Mon seul refuge, mon refuge, mon refuge
C’est toi
Oh, oui! Mon refuge, mon refuge et mon seul juge
C’est toi
On peut bien m’étouffer de fausses embrassades
Me noyer de musiques et de mascarades
Tu es mon bastion et ma barricade
Mon éden
Et si quelqu’un me parle encore de toi
En bien, en mal ou en n’importe quoi
Même si, depuis longtemps, tu n’es plus là
Dans mes veines
Oh, mon refuge, mon refuge, mon refuge
C’est toi!
Comment peut-on savoir ce qu’importe le jour
Du côté jardin ou du côté cour
Tu seras mon premier, mon dernier amour
Et je t’aime
Comme mon seul refuge, mon refuge, mon seul refuge
C’est toi