Les paroles de la chanson
« Mon petit enfant »
Georges Dor
Mon petit garçon qui grandis trop vite
Bientôt c’est l’école, devoirs et leçons
Tu n’as que trois ans et la vie t’invite
Elle t’emporte et brise tes joujoux
Sur le plancher de ta chambre
Avec tes boîtes de carton
Mon petit garçon, tu me ressembles
Car, moi aussi, j’ai eu trois ans
Mais maintenant
C’est bien ton tour
De conquérir la vie
La vie, tu verras, c’est une belle aventure
D’abord on saute la clôture
Et puis après... ça vient tout seul
Mon petit garçon, dis-moi que tu m’aimes
Dis-le-moi beaucoup en me serrant fort
Prends-moi par le cou, dis-le-moi encore
Les grands ne sont pas toujours les plus forts
Et le soir, dans ta chambre
Quand vient la nuit et quand tu dors
Mon petit garçon, tu me ressembles
Moi aussi, je dormais très fort
Mais maintenant
C’est à mon tour
De veiller sur tes rêves
Le rêve, vois-tu, c’est tout ce qui nous reste
D’ l’enfance qu’on a perdue
Et de la vie... qu’on a vécue
Mon petit garçon, tu grandis trop vite
La vie nous sépare un peu tous les jours
Elle nous reprend tout ce qu’elle donne
Elle t’emporte, ô mon petit enfant
Elle va reprendre ta chambre
Et puis tes boîtes de carton
Et puis tout ce qui nous ressemble
Tout va se perdre pour de bon
Mais maintenant
C’est notre tour
De vivre cette vie
Peut-être qu’après il y en aura une autre
Faite pour les petits enfants
Qu’on a été chacun son tour
Bientôt c’est l’école, devoirs et leçons
Tu n’as que trois ans et la vie t’invite
Elle t’emporte et brise tes joujoux
Sur le plancher de ta chambre
Avec tes boîtes de carton
Mon petit garçon, tu me ressembles
Car, moi aussi, j’ai eu trois ans
Mais maintenant
C’est bien ton tour
De conquérir la vie
La vie, tu verras, c’est une belle aventure
D’abord on saute la clôture
Et puis après... ça vient tout seul
Mon petit garçon, dis-moi que tu m’aimes
Dis-le-moi beaucoup en me serrant fort
Prends-moi par le cou, dis-le-moi encore
Les grands ne sont pas toujours les plus forts
Et le soir, dans ta chambre
Quand vient la nuit et quand tu dors
Mon petit garçon, tu me ressembles
Moi aussi, je dormais très fort
Mais maintenant
C’est à mon tour
De veiller sur tes rêves
Le rêve, vois-tu, c’est tout ce qui nous reste
D’ l’enfance qu’on a perdue
Et de la vie... qu’on a vécue
Mon petit garçon, tu grandis trop vite
La vie nous sépare un peu tous les jours
Elle nous reprend tout ce qu’elle donne
Elle t’emporte, ô mon petit enfant
Elle va reprendre ta chambre
Et puis tes boîtes de carton
Et puis tout ce qui nous ressemble
Tout va se perdre pour de bon
Mais maintenant
C’est notre tour
De vivre cette vie
Peut-être qu’après il y en aura une autre
Faite pour les petits enfants
Qu’on a été chacun son tour