Les paroles de la chanson
« Mon mal de foie »
Michel Sardou
Je sais qu’un jour, je n’pourrai plus noyer mon corps
Dans des tonneaux de vin du Rhin, dans des amphores
Parce que j’aurai mon mal de foie,
Mon mal de reins, mon mal de doigts,
Mon mal de tête, mon mal de nez,
Mon mal de fesses, mon mal de pieds.
Quel que soit l’âge où ça doit tous nous arriver,
Même si on s’dit que la vie vaut pas la peine d’être né,
On r’lit cinq fois son ordonnance,
On s’met au régime des grandes eaux,
On s’bouffe des haricots verts rances,
Sans sel, sans beurre, sans pain à l’eau.
Je sais qu’un jour, je n’pourrai plus faire l’amour.
Je n’pourrai plus parce que l’usure de tous les jours,
Parce que j’aurai mon mal de foie,
Mon mal de reins, mon mal de doigts,
Mon mal de tête, mon mal de nez,
Mon mal de fesses, mon mal de pieds.
Quel que soit l’âge où ça doit tous vous arriver,
Même si on se dit que la vie vaut pas la peine d’aimer,
On r’lit cinq fois son ordonnance,
On s’met au régime des grandes eaux,
On s’bouffe des haricots verts rances,
Sans sel, sans beurre, sans pain à l’eau.
J’ai peur qu’un jour je n’puisse même plus parler de moi
Sans radoter la même histoire à chaque fois
Parce que j’aurai fini le temps,
Mes cavalcades et mes torrents,
Parce que mon ventre aura mangé
Le cœur que j’avais à donner.
Parce que j’aurai mon mal d’amis,
Perdus dans des photos jaunies,
Mon mal d’ennuis et de silence,
De carnaval et de jouissance,
Parce que j’aurai fini le temps,
Mes cavalcades et mes torrents,
Parce que mon ventre aura mangé
Le cœur que j’avais à donner.
Dans des tonneaux de vin du Rhin, dans des amphores
Parce que j’aurai mon mal de foie,
Mon mal de reins, mon mal de doigts,
Mon mal de tête, mon mal de nez,
Mon mal de fesses, mon mal de pieds.
Quel que soit l’âge où ça doit tous nous arriver,
Même si on s’dit que la vie vaut pas la peine d’être né,
On r’lit cinq fois son ordonnance,
On s’met au régime des grandes eaux,
On s’bouffe des haricots verts rances,
Sans sel, sans beurre, sans pain à l’eau.
Je sais qu’un jour, je n’pourrai plus faire l’amour.
Je n’pourrai plus parce que l’usure de tous les jours,
Parce que j’aurai mon mal de foie,
Mon mal de reins, mon mal de doigts,
Mon mal de tête, mon mal de nez,
Mon mal de fesses, mon mal de pieds.
Quel que soit l’âge où ça doit tous vous arriver,
Même si on se dit que la vie vaut pas la peine d’aimer,
On r’lit cinq fois son ordonnance,
On s’met au régime des grandes eaux,
On s’bouffe des haricots verts rances,
Sans sel, sans beurre, sans pain à l’eau.
J’ai peur qu’un jour je n’puisse même plus parler de moi
Sans radoter la même histoire à chaque fois
Parce que j’aurai fini le temps,
Mes cavalcades et mes torrents,
Parce que mon ventre aura mangé
Le cœur que j’avais à donner.
Parce que j’aurai mon mal d’amis,
Perdus dans des photos jaunies,
Mon mal d’ennuis et de silence,
De carnaval et de jouissance,
Parce que j’aurai fini le temps,
Mes cavalcades et mes torrents,
Parce que mon ventre aura mangé
Le cœur que j’avais à donner.