Les paroles de la chanson
« Mon copain de pékin »
Francis Lemarque
Mon copain d’Pékin
Est passé sur mon chemin
Dans une rue pleine de poussière
Tout au bout d’la terre
Il ne m’a rien dit
Simplement il m’a souri
Et l’on est devenus copains
Dans les rue d’Pékin
Il était vêtu
D’un costume en toile bleue
Qu’il promenait dans la rue
D’un air bienheureux
Mon copain d’Pékin
Il n’en saura jamais rien
En suivant son pas tranquille
J’ai connu sa ville
Que le monde est petit
Que le monde est joli
Il est tout plein d’amis
Comme lui
Les tramways d’Pékin
Font sonner dès le matin
Leur carillon musical
Tout le long des rails
Dans la rue qui bouge
Le vendeur de poissons rouges
Fait claquer ses p’tits bâtons
En bois de bambou
Le marchand d’primeurs
Un artiste à sa manière
Jongle avec toutes les couleurs
Des fruits de la terre
Et puis des enfants
Vous bousculent en courant
Derrière les petits plateaux
Du marchand d’gâteaux
Dans le monde entier
Les rues sont remplies d’images
Et c’est avec ce langage
Qu’elles se font aimer
Toutes leurs maisons
Sont faites pour la même raison
Protéger l’bonheur des gens
Qui vivent dedans
Et si mon copain
Il aime mieux le riz qu’le pain
Il préfère le thé au vin
Ça ne change rien
Mon copain d’Pékin
Rencontré sur mon chemin
Dans une rue pleine de poussière
Tout au bout d’la terre
Il a emporté ce jour-là sans le savoir
Rien qu’en croisant mon regard
Coda :
Toute l’amitié
D’un enfant d’Paris
Mon copain d’Pékin
Est passé sur mon chemin
Dans une rue pleine de poussière
Tout au bout d’la terre
Il ne m’a rien dit
Simplement il m’a souri
Et l’on est devenus copains
Dans les rue d’Pékin
Il était vêtu
D’un costume en toile bleue
Qu’il promenait dans la rue
D’un air bienheureux
Mon copain d’Pékin
Il n’en saura jamais rien
En suivant son pas tranquille
J’ai connu sa ville
Que le monde est petit
Que le monde est joli
Il est tout plein d’amis
Comme lui
Les tramways d’Pékin
Font sonner dès le matin
Leur carillon musical
Tout le long des rails
Dans la rue qui bouge
Le vendeur de poissons rouges
Fait claquer ses p’tits bâtons
En bois de bambou
Le marchand d’primeurs
Un artiste à sa manière
Jongle avec toutes les couleurs
Des fruits de la terre
Et puis des enfants
Vous bousculent en courant
Derrière les petits plateaux
Du marchand d’gâteaux
Dans le monde entier
Les rues sont remplies d’images
Et c’est avec ce langage
Qu’elles se font aimer
Toutes leurs maisons
Sont faites pour la même raison
Protéger l’bonheur des gens
Qui vivent dedans
Et si mon copain
Il aime mieux le riz qu’le pain
Il préfère le thé au vin
Ça ne change rien
Mon copain d’Pékin
Rencontré sur mon chemin
Dans une rue pleine de poussière
Tout au bout d’la terre
Il a emporté ce jour-là sans le savoir
Rien qu’en croisant mon regard
Coda :
Toute l’amitié
D’un enfant d’Paris
Mon copain d’Pékin