Les paroles de la chanson
« Mon cabaret »
Mouron
Mon cabaret
Est plein de dieux voulant voler
De vieux rêvant de Père Noël
Et d’anges cherchant leurs ailes
Mon cabaret
Est rempli d’ours apprivoisés
De grands savants à quatre pattes
Et d’éléphants acrobates
Mon cabaret
Est plein de lunes pleines voulant briller
De gens très beaux qui n’ont pas de belles gueules
De femmes oubliant qu’elles sont trop seules
Dans les nuages, vous verrez
Des légionnaires amoureux
Et des barbares bienheureux
Garder mon cabaret
Mon cabaret
Est plein de diables très gentils
De dauphins rêvant de nager
Et de perroquets muets
Mon cabaret
Est rempli d’aigles repentis
De vampires qui n’ont plus de dents
Et d’enfants qui ont mille ans
Mon cabaret
Est plein de rois, de reines, tous valets
Plein de soleils qu’on a toujours voilés
D’étoiles qui n’ont encore jamais dansé
Dans le désert, vous verrez
Des vieux corsaires amoureux
Et des hommes bleus bienheureux
Garder mon cabaret
Pour le voir
Mon cabaret
Il faut avoir
Beaucoup pleuré
Faut un peu
Etre amoureux
Il faut surtout
Etre un peu fou
Mon cabaret
De la chance impossible? Allez!
Ici, le bonheur est maître à bord
Les larmes, les perdants d’abord
Mon cabaret
L’art de triomphe des oubliés
L’Empire State des gitans
Gros plan sur les différents
Mon cabaret
Est plein d’idées qui vivent en liberté
Plein de génies qui ont inventé la paix
De clowns qui savent vraiment consoler
Un beau jour, je trouverai,
Je découvrirai le feu
Je rencontrerai tous ceux
Qui m’attendent dans mon cabaret
Est plein de dieux voulant voler
De vieux rêvant de Père Noël
Et d’anges cherchant leurs ailes
Mon cabaret
Est rempli d’ours apprivoisés
De grands savants à quatre pattes
Et d’éléphants acrobates
Mon cabaret
Est plein de lunes pleines voulant briller
De gens très beaux qui n’ont pas de belles gueules
De femmes oubliant qu’elles sont trop seules
Dans les nuages, vous verrez
Des légionnaires amoureux
Et des barbares bienheureux
Garder mon cabaret
Mon cabaret
Est plein de diables très gentils
De dauphins rêvant de nager
Et de perroquets muets
Mon cabaret
Est rempli d’aigles repentis
De vampires qui n’ont plus de dents
Et d’enfants qui ont mille ans
Mon cabaret
Est plein de rois, de reines, tous valets
Plein de soleils qu’on a toujours voilés
D’étoiles qui n’ont encore jamais dansé
Dans le désert, vous verrez
Des vieux corsaires amoureux
Et des hommes bleus bienheureux
Garder mon cabaret
Pour le voir
Mon cabaret
Il faut avoir
Beaucoup pleuré
Faut un peu
Etre amoureux
Il faut surtout
Etre un peu fou
Mon cabaret
De la chance impossible? Allez!
Ici, le bonheur est maître à bord
Les larmes, les perdants d’abord
Mon cabaret
L’art de triomphe des oubliés
L’Empire State des gitans
Gros plan sur les différents
Mon cabaret
Est plein d’idées qui vivent en liberté
Plein de génies qui ont inventé la paix
De clowns qui savent vraiment consoler
Un beau jour, je trouverai,
Je découvrirai le feu
Je rencontrerai tous ceux
Qui m’attendent dans mon cabaret