Les paroles de la chanson
« Mon bon vieux phono »
Eddie Constantine
Mon bon vieux grand-père qui était comédien
Quand j’étais gamin, chantait ce refrain
"La la la"
Tout en remontant avec précaution
La p’tite manivelle d’un vieux phono à pavillon
Sur mon phono, mon vieux phono
Petit, tu vois
Quand j’ai l’ cœur gros, je mets un rouleau
Et je revois
Je vois Paulus, Mayol
Les rois du music-hall
Dranem, narquois
Qui chantait les p’tits pois
Sur mon phono, mon vieux phono
Sans déranger
J’ peux écouter
L’ premier numéro
De Chevalier
J’ vois la Scala, l’Eldorado
Et moi en lever d’ rideau
Sur mon phono, mon vieux phono
Mon vieux phono
Par un soir d’hiver, pour une grande tournée
Grand-père est monté au ciel étoilé
Et j’ai hérité, oh, pas d’ ses millions!
Mais de son métier et du phono à pavillon
Sur mon phono, mon vieux phono
Comme autrefois
Quand j’ai l’ cafard, je mets un rouleau
Alors, ma foi
Je donne un tour de clef à son cœur de métal
Et d’ son côté, il me r’monte le moral
Et même si j’ n’ai pour mon déjeuner
Qu’un p’tit sandwich
En écoutant son vieux son fêlé
Je m’ sens plus riche
Et je suis prêt à mettre au clou
Ma montre et mes bijoux
Mais sûrement pas, je vous l’ dis tout haut
Mon vieux phono
Et nous resterons, c’est bien certain
Unis comme les doigts de la main
Car mon phono, mon vieux phono
Oui, mon phono, mon vieux phono
Qui a connu mes joies, mes chagrins
C’est mon copain!
Quand j’étais gamin, chantait ce refrain
"La la la"
Tout en remontant avec précaution
La p’tite manivelle d’un vieux phono à pavillon
Sur mon phono, mon vieux phono
Petit, tu vois
Quand j’ai l’ cœur gros, je mets un rouleau
Et je revois
Je vois Paulus, Mayol
Les rois du music-hall
Dranem, narquois
Qui chantait les p’tits pois
Sur mon phono, mon vieux phono
Sans déranger
J’ peux écouter
L’ premier numéro
De Chevalier
J’ vois la Scala, l’Eldorado
Et moi en lever d’ rideau
Sur mon phono, mon vieux phono
Mon vieux phono
Par un soir d’hiver, pour une grande tournée
Grand-père est monté au ciel étoilé
Et j’ai hérité, oh, pas d’ ses millions!
Mais de son métier et du phono à pavillon
Sur mon phono, mon vieux phono
Comme autrefois
Quand j’ai l’ cafard, je mets un rouleau
Alors, ma foi
Je donne un tour de clef à son cœur de métal
Et d’ son côté, il me r’monte le moral
Et même si j’ n’ai pour mon déjeuner
Qu’un p’tit sandwich
En écoutant son vieux son fêlé
Je m’ sens plus riche
Et je suis prêt à mettre au clou
Ma montre et mes bijoux
Mais sûrement pas, je vous l’ dis tout haut
Mon vieux phono
Et nous resterons, c’est bien certain
Unis comme les doigts de la main
Car mon phono, mon vieux phono
Oui, mon phono, mon vieux phono
Qui a connu mes joies, mes chagrins
C’est mon copain!