Les paroles de la chanson
« Molière »
Chantal Goya
Dans la maison de mon père,
Qui est tapissier du roi,
On coud, on brode, on s’affaire
Car l’ouvrage ne manque pas.
Tandis que mes sœurs, mes frères,
Tapent et clouent dans l’atelier;
Des chorales imaginaires,
Sans arrêt me font chanter :
Jean-Baptiste, Jean-Baptiste,
Jean-Baptiste Poquelin,
C’est un nom qui chante bien,
Je suis fier qu’il soit le mien.
Mais pardonnez-moi mon père,
Pour la joie de mon grand-père,
Je m’appellerai Molière,
Molière.
Tu es toujours dans la lune,
Jean-Baptiste réveille-toi.
Tu ne feras pas fortune,
Me répète-t-on. Mais moi,
Moi je chante sans vergogne,
Quand mon grand-père me dit :
« Viens, viens à l’hôtel de Bourgogne,
Applaudir les comédiens. »
Jean-Baptiste, Jean-Baptiste,
Jean-Baptiste Poquelin,
C’est un nom qui chante bien,
Je suis fier qu’il soit le mien.
Mais pardonnez-moi mon père,
Pour la joie de mon grand-père,
Je m’appellerai Molière,
Molière.
Jean-Baptiste, Jean-Baptiste,
Jean-Baptiste Poquelin,
C’est un nom qui chante bien,
Je suis fier qu’il soit le mien.
Mais pardonnez-moi mon père,
Pour la joie de mon grand-père,
Je suis devenu Molière... Molière
Qui est tapissier du roi,
On coud, on brode, on s’affaire
Car l’ouvrage ne manque pas.
Tandis que mes sœurs, mes frères,
Tapent et clouent dans l’atelier;
Des chorales imaginaires,
Sans arrêt me font chanter :
Jean-Baptiste, Jean-Baptiste,
Jean-Baptiste Poquelin,
C’est un nom qui chante bien,
Je suis fier qu’il soit le mien.
Mais pardonnez-moi mon père,
Pour la joie de mon grand-père,
Je m’appellerai Molière,
Molière.
Tu es toujours dans la lune,
Jean-Baptiste réveille-toi.
Tu ne feras pas fortune,
Me répète-t-on. Mais moi,
Moi je chante sans vergogne,
Quand mon grand-père me dit :
« Viens, viens à l’hôtel de Bourgogne,
Applaudir les comédiens. »
Jean-Baptiste, Jean-Baptiste,
Jean-Baptiste Poquelin,
C’est un nom qui chante bien,
Je suis fier qu’il soit le mien.
Mais pardonnez-moi mon père,
Pour la joie de mon grand-père,
Je m’appellerai Molière,
Molière.
Jean-Baptiste, Jean-Baptiste,
Jean-Baptiste Poquelin,
C’est un nom qui chante bien,
Je suis fier qu’il soit le mien.
Mais pardonnez-moi mon père,
Pour la joie de mon grand-père,
Je suis devenu Molière... Molière