Les paroles de la chanson
« Minouchette »
Jean-Pierre Ferland
En ce temps-là, Minouchette jolie
Bientôt cause nos gentilles folies
Chaque dimanche nous la retenait
Comme les printemps et les oranges
Elle nous revenait
Minouchette courte vêtue
Gentille et trouble fête
Viens promener sa vertu
Fauchant à tue-tête
Du j’en sais Marie (?)
Et grand-papa gardez vos esprits
Si le soleil d’un coup s’était mis à ronfler
Si le corneilles pour mieux s’étaient immaculées
La jolie sorcière nous revient perdue
De nos caresses de paupières
Des sous-entendus
Comme une queue de rat
Nous suivions notre chatte
Lequel d’entre-nous l’aura
Heureux l’acrobate qui sera favori
Et grand-papa gardez vos esprits
J’ai vu des gars devenir hystériques
Un peu gaga s’embarquer pour l’Afrique
Le cœur à vendre, l’esprit dérangé
De regarder sans jamais prendre
Pauvres naufragés
Et toujours ce nom
Qui nous fait penser croche
Adieu, veaux, vaches et sermons
Dans notre caboche les mêmes rêveries
Grand-papa gardez vos esprits
Chaque dimanche à goûter le spectacle
D’une paire de hanche portée aux pinacles
Mais un jour tragique, un jour la rumeur voulut
Que Minouchette toute pure
Non, ne le soit pas
On organisa la battue des consciences
Pour connaître le Judas
Qui nous a ravi en plus de Minouchette
Nos dimanches, jouant la cachette
Triste chanceux, c’était le pauvre grand-papa
Qui trop fiévreux depuis le lit ni quittait pas
Maladie peu sage dirent les jaloux
Mais grand-papa soutient que l’âge
A ses caprices itou
Minouchette toujours traîne sa contagion
Aux quatre vents des beaux jours
Et sans illusion chantent ceux qui s’ennuient
Grand-papa a rendu l’esprit
Bientôt cause nos gentilles folies
Chaque dimanche nous la retenait
Comme les printemps et les oranges
Elle nous revenait
Minouchette courte vêtue
Gentille et trouble fête
Viens promener sa vertu
Fauchant à tue-tête
Du j’en sais Marie (?)
Et grand-papa gardez vos esprits
Si le soleil d’un coup s’était mis à ronfler
Si le corneilles pour mieux s’étaient immaculées
La jolie sorcière nous revient perdue
De nos caresses de paupières
Des sous-entendus
Comme une queue de rat
Nous suivions notre chatte
Lequel d’entre-nous l’aura
Heureux l’acrobate qui sera favori
Et grand-papa gardez vos esprits
J’ai vu des gars devenir hystériques
Un peu gaga s’embarquer pour l’Afrique
Le cœur à vendre, l’esprit dérangé
De regarder sans jamais prendre
Pauvres naufragés
Et toujours ce nom
Qui nous fait penser croche
Adieu, veaux, vaches et sermons
Dans notre caboche les mêmes rêveries
Grand-papa gardez vos esprits
Chaque dimanche à goûter le spectacle
D’une paire de hanche portée aux pinacles
Mais un jour tragique, un jour la rumeur voulut
Que Minouchette toute pure
Non, ne le soit pas
On organisa la battue des consciences
Pour connaître le Judas
Qui nous a ravi en plus de Minouchette
Nos dimanches, jouant la cachette
Triste chanceux, c’était le pauvre grand-papa
Qui trop fiévreux depuis le lit ni quittait pas
Maladie peu sage dirent les jaloux
Mais grand-papa soutient que l’âge
A ses caprices itou
Minouchette toujours traîne sa contagion
Aux quatre vents des beaux jours
Et sans illusion chantent ceux qui s’ennuient
Grand-papa a rendu l’esprit