Les paroles de la chanson
« Mes racines »
Renan Luce
Mes racines sont profondes
Eles ont traversé l’onde
Et perforé la pierre
D’une fin de terre
Elles ont tissé leur toile
Sous un ciel sans étoiles
Et nettoyé par le vent
Attirée par devant
Ô ma presqu’île accrochée
Par quelques vieux rochers
Je garde une boussole
Pour rev’nir sur mes pas
Souv’nir du ras du sol
Quand je ne marchais pas
Mes racines sont vivantes
Comme dans ces terres arides
Elles cherchent la suivante
Quand une nappe est vide
Elles forcent mon voyage
Qu’importe où et quand
Mon existence péage
"Carte moins de vingt cinq ans"
Les sandwichs sur le pouce
Les amphis à l’index
Tous ces mots dans la bouche
Le corps comme un silex
Pour peu que l’on te touche
L’étincelle qui reste
Et mes racines grandissent
Une rencontre et puis dix
Un regard et puis cent
Je regarde impuissant
Le chemin que dessinent
Pour demain mes racines
Mes racines sont sonores
Et leurs échos opposent
Une vague - falaise nord -
Un Airbus - ville rose -
Mes racines sont tactiles
Reconnaissent à tâtons
La douceur du pistil
Le rugueux du béton
La peau fine des filles
Les griffes d’un chaton
Mes racines olfactives
Gardent précieusement
L’odeur de la lessive
Dans les jupes de Maman
Mes racines sont "famille"
P’t’être pas assez souvent
Pourtant mon coeur fourmille
Toujours pareillement
De "Toc toc" à mon mur
"Viens dormir avec moi"
De cueillettes de mûres
De cabanes dans les bois
De vacances tous les cinq
"Crème solaire, pelle et seau"
C’est à vous que je trinque
Avec le verre bien haut
A la prochaine étreinte
Je vous attends bientôt
Et mes racines grandissent
Une rencontre et puis dix
Un regard et puis cent
Je regarde impuissant
Le chemin que dessinent
Pour demain
Mes racines grandissent
Une rencontre et puis dix
Un regard et puis cent
Je regarde impuissant
Le chemin que dessinent
Pour demain mes racines
Mes racines
Mes racines
Mes racines
Eles ont traversé l’onde
Et perforé la pierre
D’une fin de terre
Elles ont tissé leur toile
Sous un ciel sans étoiles
Et nettoyé par le vent
Attirée par devant
Ô ma presqu’île accrochée
Par quelques vieux rochers
Je garde une boussole
Pour rev’nir sur mes pas
Souv’nir du ras du sol
Quand je ne marchais pas
Mes racines sont vivantes
Comme dans ces terres arides
Elles cherchent la suivante
Quand une nappe est vide
Elles forcent mon voyage
Qu’importe où et quand
Mon existence péage
"Carte moins de vingt cinq ans"
Les sandwichs sur le pouce
Les amphis à l’index
Tous ces mots dans la bouche
Le corps comme un silex
Pour peu que l’on te touche
L’étincelle qui reste
Et mes racines grandissent
Une rencontre et puis dix
Un regard et puis cent
Je regarde impuissant
Le chemin que dessinent
Pour demain mes racines
Mes racines sont sonores
Et leurs échos opposent
Une vague - falaise nord -
Un Airbus - ville rose -
Mes racines sont tactiles
Reconnaissent à tâtons
La douceur du pistil
Le rugueux du béton
La peau fine des filles
Les griffes d’un chaton
Mes racines olfactives
Gardent précieusement
L’odeur de la lessive
Dans les jupes de Maman
Mes racines sont "famille"
P’t’être pas assez souvent
Pourtant mon coeur fourmille
Toujours pareillement
De "Toc toc" à mon mur
"Viens dormir avec moi"
De cueillettes de mûres
De cabanes dans les bois
De vacances tous les cinq
"Crème solaire, pelle et seau"
C’est à vous que je trinque
Avec le verre bien haut
A la prochaine étreinte
Je vous attends bientôt
Et mes racines grandissent
Une rencontre et puis dix
Un regard et puis cent
Je regarde impuissant
Le chemin que dessinent
Pour demain
Mes racines grandissent
Une rencontre et puis dix
Un regard et puis cent
Je regarde impuissant
Le chemin que dessinent
Pour demain mes racines
Mes racines
Mes racines
Mes racines