Les paroles de la chanson
« Mes fans »
Oxmo Puccino
C’est peut-être la dernière fois que tu m’aimes
Apprécie jusqu’à te lasser
Inattendu comme une grossesse Oxmo!!
Puccino, faut que je réagisse avant que je change
A tes yeux à cause de ce que les gens nomment
Le succès, stress, tu sais pas ce que c’est, tu plais
Tu fais des tunes, le jour où t’es plus en vogue
Creuser mes neurones, m’lever à l’aube, pas d’écarts connard
Car j’ai capté tôt l’art de jacter, pas d’peau
Trop de groupes nous punissent, font écouter des démos
Que des maux de têtes, visent le jackpot
Moi quand je rappe déjà j’ai plus de potes
Ce qui compte c’est le poste des fans
Le boss défonce ses cordes vocales
Ecarte-toi des baffles, j’ai tellement de puissance
Même sans mic ma bouche est enceinte
[Refrain] :
Je dois beaucoup à mes fans
Applaudissez-moi que je m’enflamme
Flattez-moi, hommes et femmes
Maman, ce soir je passe à la télé
Promis, j’vais trouver un vrai job
Mais ce soir je dois contempler
Suite à des hivers d’études des rues j’ai conclu
" Que le crime ne paie pas ", le taf non plus!
A vingt ans j’ai fait à mon père et mes potes
Fuck that shit, je me lance dans le rap
Et pas le boogie-woogie, le hardcore
Qui te casse le bras, tel David Douillet
Et si y’a pas de sous, je m’en battais les douilles
M’ont dit l’est fou lui, tant qu’y a la vibe aïe aïe aïe
Tenez le cap Abdoulaye
Sois pas désolé, Ox t’as pas fait platine!!
Cousine, j’ai fait ma first rime sans un centime
Mon vrai sentiment, changer de branche avant la ruine
La carotte est cuite, ma tranche fine
La fin d’une vie d’artiste se peut discréditante
Stylo posé je reprends mes distances
[Refrain]
Avant je rappais pour être le best, maintenant c’est pour que
Mes potes soient fiers de moi, que mes fans me checkent
Tant qu’on me félicite, maison de disques fait les chèques
Impossible de me suivre, j’ai défait l’échelle
J’ai jamais voulu être une star
J’voulais juste gagner des prix Nobel, au moins des oscars
Mon fan club suffit seulement d’aimer ce morceau pour y être
Jamais aux oubliettes, mes textes tous d’hier
Mon espace va de A à Z
Du do au si, du " un " spirituel je m’arrête au " sept "
Pour moi gal c’est comme pour toi la cigarette
J’écris sans cesse, chaque jour je dis j’arrête
[Refrain]
Apprécie jusqu’à te lasser
Inattendu comme une grossesse Oxmo!!
Puccino, faut que je réagisse avant que je change
A tes yeux à cause de ce que les gens nomment
Le succès, stress, tu sais pas ce que c’est, tu plais
Tu fais des tunes, le jour où t’es plus en vogue
Creuser mes neurones, m’lever à l’aube, pas d’écarts connard
Car j’ai capté tôt l’art de jacter, pas d’peau
Trop de groupes nous punissent, font écouter des démos
Que des maux de têtes, visent le jackpot
Moi quand je rappe déjà j’ai plus de potes
Ce qui compte c’est le poste des fans
Le boss défonce ses cordes vocales
Ecarte-toi des baffles, j’ai tellement de puissance
Même sans mic ma bouche est enceinte
[Refrain] :
Je dois beaucoup à mes fans
Applaudissez-moi que je m’enflamme
Flattez-moi, hommes et femmes
Maman, ce soir je passe à la télé
Promis, j’vais trouver un vrai job
Mais ce soir je dois contempler
Suite à des hivers d’études des rues j’ai conclu
" Que le crime ne paie pas ", le taf non plus!
A vingt ans j’ai fait à mon père et mes potes
Fuck that shit, je me lance dans le rap
Et pas le boogie-woogie, le hardcore
Qui te casse le bras, tel David Douillet
Et si y’a pas de sous, je m’en battais les douilles
M’ont dit l’est fou lui, tant qu’y a la vibe aïe aïe aïe
Tenez le cap Abdoulaye
Sois pas désolé, Ox t’as pas fait platine!!
Cousine, j’ai fait ma first rime sans un centime
Mon vrai sentiment, changer de branche avant la ruine
La carotte est cuite, ma tranche fine
La fin d’une vie d’artiste se peut discréditante
Stylo posé je reprends mes distances
[Refrain]
Avant je rappais pour être le best, maintenant c’est pour que
Mes potes soient fiers de moi, que mes fans me checkent
Tant qu’on me félicite, maison de disques fait les chèques
Impossible de me suivre, j’ai défait l’échelle
J’ai jamais voulu être une star
J’voulais juste gagner des prix Nobel, au moins des oscars
Mon fan club suffit seulement d’aimer ce morceau pour y être
Jamais aux oubliettes, mes textes tous d’hier
Mon espace va de A à Z
Du do au si, du " un " spirituel je m’arrête au " sept "
Pour moi gal c’est comme pour toi la cigarette
J’écris sans cesse, chaque jour je dis j’arrête
[Refrain]