Les paroles de la chanson
« Mères noires »
Claude Besson
Mères Noires
Quand le vent se lève le soir,
Qu’il bouscule vos coiffes noires,
Mères Noires,
Mères Noires.
Vous suppliez le Raz de Sein,
De laisser passer vos marins.
Mères Noires,
Mères Noires.
Mais les vagues noient vos espoirs,
Seuls horizons de vos pensées,
Et vos robes deviennent noires,
Comme la baie des trépassés.
Vous passez du matin au soir,
A mouiller de pleurs vos mouchoirs.
Mères Noires,
Mères Noires.
Et vous dîtes à Saint Corentin
"Bénis le Cimetière Marin"
Mères Noires,
Mères Noires.
Gloire à vous, à vos compagnons,
Gloire aux héros de vos chansons.
Gloire à leur dernier Kénavo
Perdu dans l’eau de leurs sanglots.
Quand le vent se lève le soir,
Qu’il bouscule vos coiffes noires,
Mères Noires,
Mères Noires.
Vous suppliez le Raz de Sein,
De laisser passer vos marins.
Mères Noires,
Mères Noires.
Mais les vagues noient vos espoirs,
Seuls horizons de vos pensées,
Et vos robes deviennent noires,
Comme la baie des trépassés.
Vous passez du matin au soir,
A mouiller de pleurs vos mouchoirs.
Mères Noires,
Mères Noires.
Et vous dîtes à Saint Corentin
"Bénis le Cimetière Marin"
Mères Noires,
Mères Noires.
Gloire à vous, à vos compagnons,
Gloire aux héros de vos chansons.
Gloire à leur dernier Kénavo
Perdu dans l’eau de leurs sanglots.