Les paroles de la chanson
« Même si »
Marie-Paule Belle
Même si tu t’en vas de Paris
Même si tu oublies que tu aimais le ciel gris
Même si tu t’en vas de Paris
Même si tu oublies que tu aimais la pluie
Même si un jour tu réussis
Même si à tes fenêtres le ciel n’est plus gris
Même si tu as d’autres amis
Même si Paris devient pour toi trop petit
N’oublie pas, n’oublie pas, n’oublie pas les boulevards
Les travaux, les trottoirs, les détours, les retards
les coups d’ pompe, les coups d’ tête, les coups d’ cœur, les coups d’ frein
N’oublie pas, n’oublie pas, n’oublie pas qu’on est bien
N’oublie pas, n’oublie pas, n’oublie pas le métro
Les brouillards, les matins, les hasards, les bistros
Les "pars vite", les "reviens", les "je t’aime" quotidiens
N’oublie pas, n’oublie pas, n’oublie pas qu’on est bien
Même quand tu me parles soleil
Même quand tu as moins de courage que la veille
Même quand tu t’habilles en silence
Même quand tu prétends que tu n’as pas de chance
Même si tu prends un raccourci
Même si je préfère flâner sous le ciel gris
Même si tu t’en vas de Paris
Même si tu oublies que tu aimais la pluie
N’oublie pas, n’oublie pas, n’oublie pas les problèmes
Les fringales des fins d’ mois devant un café crème
Les annonces, les adresses, les "ça y est", les "tant pis"
N’oublie pas, n’oublie pas, n’oublie pas notre vie
N’oublie pas, n’oublie pas, n’oublie pas les dimanches
Les conneries des copains, le climat des nuits blanches
Les verres vides, les verres pleins, les cafards, les tendresses
N’oublie pas, n’oublie pas, n’oublie pas ta jeunesse...
Même si tu oublies que tu aimais le ciel gris
Même si tu t’en vas de Paris
Même si tu oublies que tu aimais la pluie
Même si un jour tu réussis
Même si à tes fenêtres le ciel n’est plus gris
Même si tu as d’autres amis
Même si Paris devient pour toi trop petit
N’oublie pas, n’oublie pas, n’oublie pas les boulevards
Les travaux, les trottoirs, les détours, les retards
les coups d’ pompe, les coups d’ tête, les coups d’ cœur, les coups d’ frein
N’oublie pas, n’oublie pas, n’oublie pas qu’on est bien
N’oublie pas, n’oublie pas, n’oublie pas le métro
Les brouillards, les matins, les hasards, les bistros
Les "pars vite", les "reviens", les "je t’aime" quotidiens
N’oublie pas, n’oublie pas, n’oublie pas qu’on est bien
Même quand tu me parles soleil
Même quand tu as moins de courage que la veille
Même quand tu t’habilles en silence
Même quand tu prétends que tu n’as pas de chance
Même si tu prends un raccourci
Même si je préfère flâner sous le ciel gris
Même si tu t’en vas de Paris
Même si tu oublies que tu aimais la pluie
N’oublie pas, n’oublie pas, n’oublie pas les problèmes
Les fringales des fins d’ mois devant un café crème
Les annonces, les adresses, les "ça y est", les "tant pis"
N’oublie pas, n’oublie pas, n’oublie pas notre vie
N’oublie pas, n’oublie pas, n’oublie pas les dimanches
Les conneries des copains, le climat des nuits blanches
Les verres vides, les verres pleins, les cafards, les tendresses
N’oublie pas, n’oublie pas, n’oublie pas ta jeunesse...