Les paroles de la chanson
« Maurice fanon - chanson pour toi »
Maurice Fanon
A l’heure blanche du laitier
A l’heure où Paris se défrange
Entre les bras des poubelliers
Qui vont par 2 comme des anges
De tas d’ordures en tas d’ordures
Et Paris, mon mignon, la France
Pourront vivre tant que ça dure
Et même mourir en beauté
Je me réveille encore
Et je te vois comme autrefois
Quand tu dormais le long de moi
La nuit s’attardent en Toi, si fort
Elle, dedans & moi, dehors
La vague est lente dans ton corps
Es-tu la barque, es-tu le port?
Ou n’es-tu que ma femme, là
Entre mes bras qui dort encore
Et tant que j’aime
Et j’aime encore
A l’heure où Paris se déhanche
Et s’accroche aux derniers baisers
D’un "Don Quichotte" de la Manche
Maritime ou du Loiret
A l’heure où la dernière danse
Désespère de s’en voler
Allez savoir si les mésanges
Ont mal au coeur ou mal au pieds
Je me réveille encore
Et je te vois comme autrefois
Quand tu dormais le long de moi
La nuit s’attarde en Toi si fort
Elle, dedans & moi, dehors
La vague est lente dans ton corps
A l’heure sourd où Paris
Fait autant cas de la jactance
D’un petit "Don Juan" de quartier
Qu’un grand poète en partance
L’heure où les premiers oiseaux chantent
A s’en faire éclater la branche
Les amours d’un désespéré
Qui s’est tué sur un rosier
Je me réveille encore
Et je te vois comme autrefois
Quand tu dormais le long de moi
La nuit s’attarde en Toi si fort
Elle, dedans & moi, dehors
La vague est lente dans ton corps
Et tant je t’aime
Je t’aime encore
Je t’aime encore
A l’heure où Paris se défrange
Entre les bras des poubelliers
Qui vont par 2 comme des anges
De tas d’ordures en tas d’ordures
Et Paris, mon mignon, la France
Pourront vivre tant que ça dure
Et même mourir en beauté
Je me réveille encore
Et je te vois comme autrefois
Quand tu dormais le long de moi
La nuit s’attardent en Toi, si fort
Elle, dedans & moi, dehors
La vague est lente dans ton corps
Es-tu la barque, es-tu le port?
Ou n’es-tu que ma femme, là
Entre mes bras qui dort encore
Et tant que j’aime
Et j’aime encore
A l’heure où Paris se déhanche
Et s’accroche aux derniers baisers
D’un "Don Quichotte" de la Manche
Maritime ou du Loiret
A l’heure où la dernière danse
Désespère de s’en voler
Allez savoir si les mésanges
Ont mal au coeur ou mal au pieds
Je me réveille encore
Et je te vois comme autrefois
Quand tu dormais le long de moi
La nuit s’attarde en Toi si fort
Elle, dedans & moi, dehors
La vague est lente dans ton corps
A l’heure sourd où Paris
Fait autant cas de la jactance
D’un petit "Don Juan" de quartier
Qu’un grand poète en partance
L’heure où les premiers oiseaux chantent
A s’en faire éclater la branche
Les amours d’un désespéré
Qui s’est tué sur un rosier
Je me réveille encore
Et je te vois comme autrefois
Quand tu dormais le long de moi
La nuit s’attarde en Toi si fort
Elle, dedans & moi, dehors
La vague est lente dans ton corps
Et tant je t’aime
Je t’aime encore
Je t’aime encore