Les paroles de la chanson
« Masque de fer »
KDD
Tel un sanglier sanguinaire j’opère dans les vastes forêts
Urbaniser pour te canibaliser
Haine puiser dans l’expérience puis analyser
Puis verbaliser cracher sur tempo et banaliser.
Tu peux baliser si ta bouche fait des travers
Mort j’entends ce que voit la lumière,
L’effraction cérébrale est depuis mon hobby,
Je me souviens de toi-même quand toi tu m’oublies.
Rancune intarissable j’enterre dans le sable
L’agonie des coupables m’a inspiré beaucoup de fables.
Soupçonné comme G.Dominici
Comme John Woo je cache mes armes dans mes sushis
Mercenaire extra à la folie meurtrière,
Parfois ma foi me pousse à l’extra- ordinaire
Je vise avec des balles puisées dans le dictionnaire
Car ma bad vérité est un best-seller.
Un rap fait leur, qui fait chhh qui fait mal,
Résurrection, réincarnation, animal,
Un carnassier aux dents d’acier,
je suis le sixième élément,
Celui qui pense voit grand
Insolent car trop insulté, telles sont les puantes conséquences
D’une enfance plongée dans la démence.
Manque d’argent, misère et dèche, comme Polo, panne sèche,
Retenir ses larmes pour pas passer pour un lèche,
Ma rage et ma folie cachées derrière un masque de fer
Forgé par la galère
Le gris métal de mon visage décourage mes ennemis,
L’indifférence est le meilleur des mépris,
Même si ma rage est ductile elle reste subtile,
Eclate quand sur scène je plaque des MC stériles.
La rétine glacée, mon regard refroidi
Afin de mieux protéger ce que j’aime dans la vie.
Je cache mes sentiments pour cracher plus sans pitié,
Obligé, devant le système je peux pas plier.
Invisible insensible imperceptible,
Si tu comptes que sur toi tu deviens indivisible.
J’ai pas d’amis, j’ai des frères ou des ennemis.
Car dans la vie tu n’es trahi que par des amis.
Urbaniser pour te canibaliser
Haine puiser dans l’expérience puis analyser
Puis verbaliser cracher sur tempo et banaliser.
Tu peux baliser si ta bouche fait des travers
Mort j’entends ce que voit la lumière,
L’effraction cérébrale est depuis mon hobby,
Je me souviens de toi-même quand toi tu m’oublies.
Rancune intarissable j’enterre dans le sable
L’agonie des coupables m’a inspiré beaucoup de fables.
Soupçonné comme G.Dominici
Comme John Woo je cache mes armes dans mes sushis
Mercenaire extra à la folie meurtrière,
Parfois ma foi me pousse à l’extra- ordinaire
Je vise avec des balles puisées dans le dictionnaire
Car ma bad vérité est un best-seller.
Un rap fait leur, qui fait chhh qui fait mal,
Résurrection, réincarnation, animal,
Un carnassier aux dents d’acier,
je suis le sixième élément,
Celui qui pense voit grand
Insolent car trop insulté, telles sont les puantes conséquences
D’une enfance plongée dans la démence.
Manque d’argent, misère et dèche, comme Polo, panne sèche,
Retenir ses larmes pour pas passer pour un lèche,
Ma rage et ma folie cachées derrière un masque de fer
Forgé par la galère
Le gris métal de mon visage décourage mes ennemis,
L’indifférence est le meilleur des mépris,
Même si ma rage est ductile elle reste subtile,
Eclate quand sur scène je plaque des MC stériles.
La rétine glacée, mon regard refroidi
Afin de mieux protéger ce que j’aime dans la vie.
Je cache mes sentiments pour cracher plus sans pitié,
Obligé, devant le système je peux pas plier.
Invisible insensible imperceptible,
Si tu comptes que sur toi tu deviens indivisible.
J’ai pas d’amis, j’ai des frères ou des ennemis.
Car dans la vie tu n’es trahi que par des amis.
