Les paroles de la chanson
« Marseille »
Philippe Forcioli
Marseille
De ma mort et de ma renaissance
Marseille, grise et bleue {x2}
Pareil
À la misère qui fleurit sur tes rives
Étranger, j’ai connu la dérive
En tétant le soleil
Pareil
À l’inconnu qui passe
Et qui trace un poisson
Sur le sable, en silence
Je dessine un oiseau
Sur tes forêts absentes
Marseille
Ville de mauvais sang
Je t’ai bue, adolescent
Et voici, je te nomme
Reconnaissant
De la beauté de l’homme
Marseille
Capitale des fous
Si l’accent a le goût
Des collines marines
Tu veilles
À ce qu’au rendez-vous
Voyageurs et voyous
Vers la lumière s’inclinent
Oh! Aime
Oh! Aime jusqu’à l’infini
Homme, aime, crie dans la nuit
Jusqu’au matin suprême
Ma vieille
Au grand vent de l’enfance
Cet avril m’est immense
Comme il me fut dégoût
Merveille
Au bout de la mi-nuit
Fin d’ la rue Paradis
Un ange m’a souri
Marseille
De ma mort et de ma renaissance
Marseille, blanche et bleue {x2}
De ma mort et de ma renaissance
Marseille, grise et bleue {x2}
Pareil
À la misère qui fleurit sur tes rives
Étranger, j’ai connu la dérive
En tétant le soleil
Pareil
À l’inconnu qui passe
Et qui trace un poisson
Sur le sable, en silence
Je dessine un oiseau
Sur tes forêts absentes
Marseille
Ville de mauvais sang
Je t’ai bue, adolescent
Et voici, je te nomme
Reconnaissant
De la beauté de l’homme
Marseille
Capitale des fous
Si l’accent a le goût
Des collines marines
Tu veilles
À ce qu’au rendez-vous
Voyageurs et voyous
Vers la lumière s’inclinent
Oh! Aime
Oh! Aime jusqu’à l’infini
Homme, aime, crie dans la nuit
Jusqu’au matin suprême
Ma vieille
Au grand vent de l’enfance
Cet avril m’est immense
Comme il me fut dégoût
Merveille
Au bout de la mi-nuit
Fin d’ la rue Paradis
Un ange m’a souri
Marseille
De ma mort et de ma renaissance
Marseille, blanche et bleue {x2}