Les paroles de la chanson
« Marie laveau »
Tété
Camarade, connais-tu l’histoire
De la grande Marie Laveau?
c’en vaut la peine,
j’aime à le croire,
La voici en deux mots.
Les âmes se méfiaient de Marie
Et l’admiraient tout autant
Chacun savait
Qu’à Satan elle se confiait
en disant :
"Diminuée par moment
Mais à genoux jamais
Je fascine le firmament
Les étoiles sans filet"
"Vive la nouvelle Orléans
Et le bayou d’antan
Les perles et le gombo"
Ainsi chantait, t’entends,
La Grande Marie Laveau.
Il y avait peu de vergogne
Et du Congo chez Marie,
Des scandaleux de la Bourgogne
Et son pesant d’esprits
Les fidèles ne s’y trompaient pas
Qui s’y réfugiaient la nuit,
Aux coeurs desquels n’en seraient mort,
Mais ça c’est c’qui s’en dit.
"Diminuée par moment
Mais à genoux jamais
Je fascine le firmament
Les étoiles sans filet"
Et en bénissant ses dévots
Dans l’eau du Mississippi
Voilà c’qu’ajoutait Marie :
"Quand l’infortune sonne le glas
La lune reconnaît ses héros
Et quant en toi, il pleut tout bas
Dehors il fait toujours beau…"
"Diminuée par moments
Mais à genoux jamais
Je fascine le firmament
Les étoiles sans filet"
"Vive la Nouvelle-Orléans,
Et le bayou d’antan
Les perles et le gombo"
Ainsi chantait t’entends…
"Diminuée par moments
Mais à genoux jamais
Je fascine le firmament
Les étoiles sans regrets"
"Vive la Nouvelle-Orléans
Et le bayou d’antan
Les perles et le gombo"
Ainsi chantait t’entends
La Grande Marie Laveau.
De la grande Marie Laveau?
c’en vaut la peine,
j’aime à le croire,
La voici en deux mots.
Les âmes se méfiaient de Marie
Et l’admiraient tout autant
Chacun savait
Qu’à Satan elle se confiait
en disant :
"Diminuée par moment
Mais à genoux jamais
Je fascine le firmament
Les étoiles sans filet"
"Vive la nouvelle Orléans
Et le bayou d’antan
Les perles et le gombo"
Ainsi chantait, t’entends,
La Grande Marie Laveau.
Il y avait peu de vergogne
Et du Congo chez Marie,
Des scandaleux de la Bourgogne
Et son pesant d’esprits
Les fidèles ne s’y trompaient pas
Qui s’y réfugiaient la nuit,
Aux coeurs desquels n’en seraient mort,
Mais ça c’est c’qui s’en dit.
"Diminuée par moment
Mais à genoux jamais
Je fascine le firmament
Les étoiles sans filet"
Et en bénissant ses dévots
Dans l’eau du Mississippi
Voilà c’qu’ajoutait Marie :
"Quand l’infortune sonne le glas
La lune reconnaît ses héros
Et quant en toi, il pleut tout bas
Dehors il fait toujours beau…"
"Diminuée par moments
Mais à genoux jamais
Je fascine le firmament
Les étoiles sans filet"
"Vive la Nouvelle-Orléans,
Et le bayou d’antan
Les perles et le gombo"
Ainsi chantait t’entends…
"Diminuée par moments
Mais à genoux jamais
Je fascine le firmament
Les étoiles sans regrets"
"Vive la Nouvelle-Orléans
Et le bayou d’antan
Les perles et le gombo"
Ainsi chantait t’entends
La Grande Marie Laveau.