Les paroles de la chanson
« Marie-laurence »
Marc Aryan
Un an déjà que tu as fui
Vers le scintillement des nuits
De la grand ville
Et depuis, seul derrière ma peau,
Je vis à la fortune du pot
Ma vie tranquille
J’ai sans doute ma part d’erreurs
Je paie l’intérêt du bonheur
Par ton absence
A quoi sert-il de le cacher?
Un Provençal peut-il oublier
Le soleil de Provence,
Marie-Laurence?
Tu me disais "Je t’aime autant
Même si l’amour après un temps
Range ses armes"
Le volcan qui charriait du feu
Est devenu un lac tout bleu
Avec ses charmes
Tu me disais aussi parfois
Que je m’occupais moins de toi
Par inconscience
J’aurais dû être moins fourmi
Et plus cigale dans ma vie
Souvent j’y pense,
Marie-Laurence
Il est bien tard, je sais, je sais
Mais j’aimerais bien recommencer
Avec ma femme
C’est bien triste de finir avec
Le plus dur des constats d’échec
Celui de l’âme
Nous pourrions signer pour la vie
Un grand contrat de fantaisies
Et de vacances
Et nous pourrions faire un enfant
Ne dit-on pas qu’ils sont le ciment
L’ultime chance,
Marie-Laurence?
Vers le scintillement des nuits
De la grand ville
Et depuis, seul derrière ma peau,
Je vis à la fortune du pot
Ma vie tranquille
J’ai sans doute ma part d’erreurs
Je paie l’intérêt du bonheur
Par ton absence
A quoi sert-il de le cacher?
Un Provençal peut-il oublier
Le soleil de Provence,
Marie-Laurence?
Tu me disais "Je t’aime autant
Même si l’amour après un temps
Range ses armes"
Le volcan qui charriait du feu
Est devenu un lac tout bleu
Avec ses charmes
Tu me disais aussi parfois
Que je m’occupais moins de toi
Par inconscience
J’aurais dû être moins fourmi
Et plus cigale dans ma vie
Souvent j’y pense,
Marie-Laurence
Il est bien tard, je sais, je sais
Mais j’aimerais bien recommencer
Avec ma femme
C’est bien triste de finir avec
Le plus dur des constats d’échec
Celui de l’âme
Nous pourrions signer pour la vie
Un grand contrat de fantaisies
Et de vacances
Et nous pourrions faire un enfant
Ne dit-on pas qu’ils sont le ciment
L’ultime chance,
Marie-Laurence?