Les paroles de la chanson
« Marie et françois »
Philippe Chatel
Il était brun et grand
Elle était blonde et frêle
Il n’avait que vingt ans
Et elle dix-sept à peine
Ils se marièrent je crois
Par un matin de neige
Mais on n’a jamais froid
Quand l’amour vous protège
Il était brun et grand
Elle était blonde et frêle
Ils eurent un enfant
La veille de Noël
Mes parents c’étaient eux
Et l’enfant c’était moi
Elle s’appelait Marie
Il s’appelait François
Nous n’étions pas très riches
Mais heureux tous les trois
Ils étaient mon royaume
Et moi j’étais leur roi
Un bouquet d’anémones
Faisait notre jardin
Dans une chambre de bonne
Rue des Quatre Chemins
Un soir de notre vie
Un orage est entré
Apportant avec lui
Les mots qui font pleurer
Ils se sont séparés
Ont pris chacun leur voie
Elle s’appelait Marie
Il s’appelait François
La semaine chez l’un
Le dimanche chez l’autre
Je faisais le chemin
D’une solitude à l’autre
Le bonheur s’en alla
Avec mes illusions
Deux toits c’est un de trop
Pour faire une maison
Cette chanson est simple
Elle a peu d’importance
Mais vit au fond de moi
Depuis ma tendre enfance
Je la chante aujourd’hui
Mais depuis peu de temps
Savoir trouver les mots
M’a demandé vingt ans
Elle était blonde et frêle
Il n’avait que vingt ans
Et elle dix-sept à peine
Ils se marièrent je crois
Par un matin de neige
Mais on n’a jamais froid
Quand l’amour vous protège
Il était brun et grand
Elle était blonde et frêle
Ils eurent un enfant
La veille de Noël
Mes parents c’étaient eux
Et l’enfant c’était moi
Elle s’appelait Marie
Il s’appelait François
Nous n’étions pas très riches
Mais heureux tous les trois
Ils étaient mon royaume
Et moi j’étais leur roi
Un bouquet d’anémones
Faisait notre jardin
Dans une chambre de bonne
Rue des Quatre Chemins
Un soir de notre vie
Un orage est entré
Apportant avec lui
Les mots qui font pleurer
Ils se sont séparés
Ont pris chacun leur voie
Elle s’appelait Marie
Il s’appelait François
La semaine chez l’un
Le dimanche chez l’autre
Je faisais le chemin
D’une solitude à l’autre
Le bonheur s’en alla
Avec mes illusions
Deux toits c’est un de trop
Pour faire une maison
Cette chanson est simple
Elle a peu d’importance
Mais vit au fond de moi
Depuis ma tendre enfance
Je la chante aujourd’hui
Mais depuis peu de temps
Savoir trouver les mots
M’a demandé vingt ans